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Les dirigeables de la marine française (1915-1937)

Couverture du livre « Les dirigeables de la marine française (1915-1937) » de Robert Feuilloy aux éditions Ardhan
  • Date de parution :
  • Editeur : Ardhan
  • EAN : 9782913344143
  • Série : (-)
  • Support : Papier
Résumé:

L'offensive des sous-marins allemands, en 1915, décide la Marine à employer une flotte de dirigeables souples pour lutter contre leurs attaques.

Cet ouvrage retrace l'histoire des dirigeables armés par la Marine française de décembre 1915 à septembre 1937.

La première partie s'attache à... Voir plus

L'offensive des sous-marins allemands, en 1915, décide la Marine à employer une flotte de dirigeables souples pour lutter contre leurs attaques.

Cet ouvrage retrace l'histoire des dirigeables armés par la Marine française de décembre 1915 à septembre 1937.

La première partie s'attache à décrire la carrière individuelle de chacun des 74 ballons dirigeables.

Dès 1917, la France envisage de construire des dirigeables rigides, largement inspirés des Zeppelin dont quelques exemplaires se sont échoués sur les territoires anglais et français, et le premier d'entre eux est en construction quand survient l'Armistice. L'avènement de la paix porte un coup d'arrêt à ces projets ambitieux.

La France reçoit en 1920 et 1921, au titre des réparations de guerre, trois Zeppelin dont deux sont affectés à la Marine, le troisième étant démoli par le Service technique de l'Aéronautique. Le premier, rebaptisé Dixmude, est immobilisé trois ans,puis effectue de remarquables ascensions avant de disparaître tragiquement en décembre 1923.

Les années 1930 voient l'apparition de dirigeables neufs construits par Zodiac, mais ils sont construits en petite quantité et des accidents remettent en question l'utilité des dirigeables pour la Marine qui décide finalement de les désarmer en 1937.

La deuxième partie traite des centres de dirigeables, de leur infrastructure et de leur fonctionnement. Treize ports d'attache sont progressivement installés le long des côtes françaises, ainsi qu'en Afrique du Nord et même un en Grèce, à Corfou.

Peu survivront à la fin de la Grande Guerre et Rochefort sera le dernier en service.

La troisième partie enfin traite du personnel. Celui-ci a culminé en novembre 1918, à plus de 2 500 hommes dont plus de 300 volants. L'auteur s'est attaché pendant vingt ans à retrouver les pilotes de dirigeables, aujourd'hui tous éteints, et leur famille, pour en établir les 222 notices biographiques individuelles

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