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Pompéi, an 79 de notre ère.
Ville multiculturelle, bruyante, agitée par les excès, les jeux de pouvoir et les rivalités sentimentales. Là se croisent Glaucus le Grec fougueux, Arbacès l'Égyptien austère et sournois, la belle Ione, objet de toutes les convoitises, ainsi que les adorateurs d'une religion naissante. Mais, non loin de là, le Vésuve s'éveille et tout ce petit monde est loin d'imaginer que la cité vit alors ses dernières heures...
Les Derniers Jours de Pompéi est un roman historique anglais écrit par Edward Bulwer-Lytton en 1834.
Le roman culmine avec la description de l'éruption du Vésuve et la destruction de la ville de Pompéi en 79 après J.-C..
Pompéi, AD 79. Glaucus, notable athénien, arrive dans la bruyante et animée ville de Pompéi. Il tombe très vite amoureux de la belle Grecque Ione. Le tuteur de celle-ci, le malveillant sorcier égyptien Arbaces, grand-prêtre du culte de la déesse Isis, a des vues sur la jeune femme ; il entreprend de détruire le bonheur naissant du jeune couple. Il a déjà anéanti Apaecidès, le frère sensible de Ione, en l'incitant à devenir prêtre d'Isis, un clergé en proie au vice.
Glaucus sauve Nydia, une esclave aveugle secrètement éprise de lui, de ses maitres brutaux. Arbacès déclare sa flamme à Ione. Horrifiée, elle le repousse, ce qui le met dans une colère noire ; Glaucus et Apaecidès sauvent Ione de son emprise, mais le sorcier est blessé par un tremblement de terre, signe annonciateur d'une éruption imminente du Vésuve.
Glaucus et Ione exultent d'amour, au grand tourment de Nydia, tandis qu'Apaecides trouve une nouvelle religion dans le christianisme.
Apaecidès et Olynthus, un des premiers chrétiens, décident de dénoncer publiquement la tromperie du culte d'Isis. Remis de ses blessures, Arbacès surprend et poignarde à mort Apaecidès, et impute le crime à Glaucus.
Ione est convaincue qu'Arbacès est le meurtrier de son frère. Le sorcier l'emprisonne dans son manoir ainsi que l'esclave aveugle Nydia. Cette dernière a en effet découvert qu'il existe un témoin oculaire du meurtre d'Apaecidès, qui prouve l'innocence de Glaucus : il s'agit du prêtre Calénus, gardé prisonnier par Arbacès. Nydia fait parvenir clandestinement une lettre à Salluste, un ami de Glaucus, dans laquelle elle supplie de les sauver...
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