Inspirée d’une histoire vraie, cette BD apporte des conseils et des solutions pour sortir de l'isolement
À l'institut St Mary de recherche historique, les historiens n'étudient pas seulement le passé, ils le visitent.
Derrière l'innocente façade de St Mary, le secret du voyage dans le temps a été découvert et reste bien gardé. Les chercheurs en Histoire ont ainsi une méthode de travail tout à fait particulière : ils " étudient 'en temps réel' les événements majeurs de l'Histoire ". En se faisant passer pour d'inoffensifs excentriques, ils tentent de répondre à certaines questions qui n'ont jamais été résolues, sans jamais toucher au cours de l'Histoire... au risque d'en mourir.
Madeleine Maxwell, une jeune et brillante historienne est contactée par son ancien professeur afin de rejoindre l'équipe de l'Institut St Mary. Au cours de son étrange entretien d'embauche, Maxwell comprend vite les possibilités qui s'offrent à elle...
De la disparition de Pompéi aux tranchées de la Première Guerre mondiale, du grand incendie de Londres à la destruction de la bibliothèque d'Alexandrie, la jeune historienne va revivre d'extraordinaires événements. Alors qu'au sein de l'institut naissent des enjeux de pouvoir...
Rien de tel qu'un challenge de lecture pour sortir de ma zone de confort de lecture et découvrir des auteurs et des styles différents !
C'est ainsi qu'au hasard du Challenge 'Mauvais Genres', j'ai découvert Jodi Taylor et les Chronique de St Mary.
Quelque temps après la fin de ses études, Madeleine Maxwell, une jeune et brillante historienne est contactée par un de ses anciens professeurs, Madame de Winter, afin de rejoindre l'équipe de l'Institut St Mary.
St Mary est une institution de recherche historique, dont les membres, triés sur le volet et soumis à une sélection physique rigoureuse, sont envoyés dans le passé pour vérifier, valider les hypothèses formulées par des chercheurs. En aucun cas, ils ne doivent intervenir sur le cours de l'histoire, le modifier ou le corriger. Ce sont de simples observateurs !
Rapidement la jeune femme se retrouvera mêlée aux luttes de pouvoir entre différentes factions, mais débrouillarde, persévérante, empathique et solidaire, elle aura besoin de toutes ses ressources physiques et intellectuelles pour surmonter ses premiers voyages !
Entre un bloc de pierre qui se détache de la Cathédrale de Westminster en construction, une explosion dans un hôpital de campagne de la première guerre mondiale ou une incursion au Crétacé pour observer des dinosaures in situ, ses premiers voyages seront tout aussi variés que dangereux !
Un ton vif et léger, des péripéties qui pimentent suffisamment le récit pour qu'il devienne impossible de lâcher le livre, des personnages attachants ...
Bref, le tome suivant est déjà dans ma liseuse, et je ne vais pas tarder à m'y plonger !
Une chouette lecture, originale et amusante.
Un monde après l’autre inaugure une suite de romans originaux, fun et addictifs. Max, l’attachante protagoniste principale, est une historienne pas comme les autres : avec son équipe, elle étudie l’histoire … sur le terrain ! A Sainte Mary en effet, quelques élus ont la chance de s’embarquer dans de petites navettes et d’aller explorer le temps pour étudier directement les différents épisodes de notre Histoire.
Tout est réuni dans ce roman : un peu d’amour, beaucoup de rebondissements, de gentils excentriques, des méchants machiavéliques, pas mal d’humour, impossible d’arrêter cette lecture avant la fin !
Le voyage dans le temps... Qui n'en n'a jamais rêvé? En ouvrant ce livre, on s'imagine déjà parcourir les grands faits historiques, on se voit déjà revivre les événements marquants de l'Humanité. On se prépare, on s'installe confortablement, on se lance et......
Et j'ai ressenti un sentiment confus. Est ce l'époque qui ne m'a pas emballé? Peut être. Mais je crois que je me suis un peu perdu dans les trames temporelles. Certains éléments manquent, pour ma part de cohésion avec l'ensemble. Certains faits nous sont exposés sans que j'aie vraiment compris le "pourquoi" et le "comment". Et c'est un peu dommage. Alors vous me direz que ce n'est que le premier volume d'une longue série. Et vous aurez raison de le dire. Mais est ce que je lirai un second tome pour en apprendre plus que dans le premier? Rien n'est moins sûr....
Madeleine Maxwell, surnommée Max, est une jeune et brillante historienne sans attache, quand Sybil de Winter, une de ses anciennes professeures, la contacte afin qu’elle rejoigne l’Institut St Mary, spécialisé dans les événements historiques majeurs. Voyant tout le potentiel qui se présente à elle, elle accepte sans rechigner de subir toute la série d’épreuve avant d’être recrutée.
De missions en missions, on va très vite s’apercevoir tous les enjeux de celles-ci et combien il est difficile de ne jamais interférer avec le passé.
Grâce à ce roman, on voyage à travers l’histoire, avec un regard totalement différent. La multitude de personnages présents dans ce roman, ont tous un caractère bien trempé, mettant du piment dans l’histoire. Il y a également une multitude de rebondissements, de l’action, des sentiments, impossible de s’ennuyer en lisant ce roman. Max est très attachante et sa non/histoire avec Farell, Directeur technique, au passé sombre, est très compliquée.
Une belle découverte, un voyage dans le temps différent des romans auxquels nous avons pu être habitués à lire.
Coucou mes petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour la chronique du premier tome d'une saga très particulière mais qui a su néanmoins me séduire : je vous souhaite en effet la bienvenue entre les murs de l'institut d'histoire Saint Mary, prêts à passer d'un monde à un autre. Je remercie du fond du cœur les éditions HC - Hervé Chopin pour cet envoi, premier opus d'une saga qui s'annonce longue si j'en crois leur communiqué de presse... En effet, ce ne sont pas moins de neuf tomes qui ont été édités jusqu'à présent Outre-Manche et un petit dixième est d'ores et déjà annoncé. C'est à se demander dans quoi je me suis laissée entraîner mais au fond, je ne regrette rien. Je suis parée à faire face à toutes les péripéties les plus effrayantes et ahurissantes en compagnie de Madeleine, une héroïne pas comme les autres à laquelle j'ai fini par m'attacher.
Pour ce qui est de l'histoire et de l'univers présenté, direction Londres et son charme intemporel pour intégrer un institut mystérieux et au personnel sacrément barré ! Dans ce premier tome, la romancière britannique Jodi Taylor nous propose de monter dans ses drôles de capsules qui nous embarquent à toutes les périodes historiques possibles et imaginables, avec des risques cependant de complications... Si j'ai trouvé l'imagination de l'autrice juste complètement dingue et captivante, à mes yeux, l'intrigue est beaucoup trop vite expédiée à mon goût. En effet, l'histoire est censée se dérouler sur au moins cinq ans mais est développée bien trop rapidement. Bien sûr, je ne m'attendais pas à un récit qui corresponde à l'échelle de cinq véritables années (sinon, on ne serait pas sortis de l'auberge) mais selon moi, le livre comporte beaucoup trop d'ellipses. Je comprend tout à fait que l'autrice ait probablement souhaité ne pas ennuyer ses lecteurs avec des descriptions interminables de mois et de mois de recherches scientifiques et de préparations d'expéditions entre autres. Par ailleurs, tout cela nous est suffisamment bien expliqué, de façon tout ce qu'il y a de plus claire et fluide qui plus est, avec l'évocation de l'étude de la faune, de la flore, de l'habillement, du parler et d'autres considérations à prendre en compte en fonction du voyage temporel et spatial à effectuer. Mais justement, on ne laisse pas assez de place à ces derniers dans ce roman. Par exemple, le temps consacré aux semaines que Maxwell passe en France durant la Première Guerre mondiale se retrouve réduit à peau de chagrin au profit de la période du Crétacé, alors que c'était justement le traitement de la Grande Guerre dans le récit qui m'intéressait le plus. Après, cela dépend des goûts et des intérêts historiques de chacun, je vous l'accorde. Encore une fois, je ne fais qu'exprimer mon humble opinion. Pour ne pas trop faire dans le négatif, ce livre ne manque certainement pas de dynamisme avec un rythme soutenu et constant tout du long mais il y a trop d'éléments qui se retrouvent condensés, compressés en "seulement" 350 pages alors que tout ce que l'intrigue et les personnages ont à nous offrir méritait de donner lieu à un bon gros pavé des familles. En clair, j'aurais aimé plus de profondeur, d'étoffement.
Au niveau des protagonistes, comme je l'ai mentionné plus haut, Maxwell est une héroïne qui est parvenue à m'apprivoiser. Sa passion vorace pour son nouveau métier d'historienne nec plus ultra est carrément contagieuse et on peut dire là que ce personnage féminin crève littéralement les pages, à défaut de l'écran. En effet, Maxwell prend toute la vedette tant elle est brillante, courageuse et tout bonnement impressionnante. Ce ne sont pas les qualités qui lui manquent, là-dessus, je ne peux pas me plaindre. Je me retrouve face à une érudite qui ne se laisse pas marcher sur les pieds et au sarcasme absolument délicieux, que demande le peuple ? En revanche, sa relation amoureuse avec Léon, le "Chef", ne m'a fait ni chaud ni froid pendant très longtemps. Je suis d'ailleurs très contente que Jodi Taylor ait rectifié le tir et ajoute un supplément d'âme à leur histoire, même si cela n'a pas été fait de la plus tendre des façons. Je suis exigeante, que voulez-vous... Cependant, je ne suis pas un cœur de pierre et à un moment donné, l'empathie que j'ai ressenti pour ces deux-là m'a tout particulièrement submergée. Comment pouvait-il en être autrement au vu de leur passif douloureux à chacun et du destin qui continue décidément à s'acharner sur eux ? Mais voilà, leur désir ardent, pour ne pas dire chaud lapin, de se jeter l'un sur l'autre m'a honnêtement plus dégoûtée qu'autre chose. Encore une fois, tout va trop vite à mon goût et j'ai trouvé Maxwell tout à fait niaise et exécrable en présence de ce charmant gaillard lors de leurs instants torrides décidément beaucoup trop fréquents à mon sens. En même temps, l'insertion de ces scènes censurées pour les enfants ne m'étonne pas car elle correspond parfaitement à l'écriture de Jodi Taylor, qui est loin de faire dans la dentelle et qui a cette volonté d'être au plus près du réel. Cette plume résolument dynamique et accrocheuse représente également bien l'état d'esprit de l'héroïne avec son côté mordant et diablement cynique. Le personnel de l'Institut étant très nombreux, je ne vais pas m'attarder sur chaque employé afin de ne pas vous perdre mais il s'agit là d'une véritable famille composée de véritables tempéraments de feu qui créent régulièrement des étincelles mais jamais dans le but de nuire à l'autre. Chacun a sa place dans ce chaos très bien organisé et un sentiment d'appartenance à cette équipe de joyeux drilles se fait rapidement et fortement ressentir.
Pour conclure, je remercie encore une fois les éditions HC pour ce SP, et aussi la géniale booktubeuse Axelle de La parenthèse d'Axelle (pour aller voir sa chaîne, c'est par ici que ça se passe) de m'avoir fait découvrir ce titre et de m'avoir donné envie de me plonger dans la lecture de cette série livresque ébouriffante et qui nous réserve bien des surprises, bonnes comme mauvaises. Malgré ses défauts (ce n'est là que mon humble point de vue, gardez toujours cela en tête), ce premier tome débordant de créativité et d'un humour so british qui se boit comme le meilleur des thés, ainsi que la plume décapante et à l'énergie débordante de son autrice ont in fine su me séduire et me convaincre de m'engager pour de bon dans cette galère. Car dites vous bien une chose : si l'idée de voyages dans le temps est extrêmement enthousiasmante (c'est mon petit péché mignon inconditionnel en matière de fiction), vous allez vite déchanter en vous rendant compte de tous les dangers que cela implique. Mais justement, Jodi Taylor nous prouve rien que dans ce premier tome que l'être humain est particulièrement tenace et que sa soif de connaissances et sa volonté à se dépasser n'a pas de limites. Vivement donc que je me plonge dans la lecture de la suite, d'autant plus que la révélation finale de ce tome-ci m'en en a juste coupé les bras. Et encore, le mot est faible. Chapeau l'artiste !
En voilà une lecture qui n’aura pas été aussi appréciée qu’elle l’aurait été si je n’avais pas été paléontologue (conflit métier loisir bonjour). Le premier tome des chroniques de St Mary a été un bon divertissement. Le style est fluide, simple et sans prise de tête. L’intrigue est pleine de rebondissements et l’histoire se complexifie peu à peu de manière bien dosée. Les personnages sont variés, l’ensemble fonctionne même si au cas par cas on s’aperçoit qu’ils apparaissent un peu trop extrême et/ou cliché. Je lirais la suite par curiosité pour me faire une opinion sur un récit éloigné de mon domaine de compétence car là il y avait des choses qui ne sont pas passées. Avoir des historiens couteau suisse de la science bah non c’est pas crédible historien synonyme de paléontologue + géologue + biologiste + chimiste +… ça me m’énerve chacun son job, sa spécialité. Après il y a les coquilles pour rester polie des chênes au Crétacé bah non et niveau dinosaures c’est aussi loupé. Et dans un contexte où on croit de moins en moins les scientifiques faire le choix de démontrer que les recherches sont fausses, que la fiction avait raison tout ressemble à Jurassic park finalement je ne suis pas accord ça me gène. Voilà donc affaire à suivre mais j’ai du mal avec les libertés scientifiques/historiques en général donc ici j’ai été servie.
Une lecture bien sympathique que ce 1er tome, qui nous entraîne dans les rouages de St Mary et dans le quotidien de ses équipes. L’Institut, ce n’est pas seulement sa section d’historiens-voyageurs, mais aussi ses techniciens, ses bibliothécaires, ses médecins, son équipe de sécurité, son département des costumes et ses cuisines. Le lecteur fait connaissance avec des tas de personnages, donc certains feront essentiellement de la figuration quand d’autres prendront vite une place prépondérante dans le récit.
L’histoire nous est racontée par et du point de vue de son héroïne dont le langage parfois fleuri fait souvent sourire. Déterminée, aventureuse et passionnée par son métier, Max est une narratrice facile à suivre. La plume est fluide et pleine d’humour, on tourne les pages rapidement pour découvrir la suite, on est pressé de savoir ce qui va pouvoir se passer au chapitre suivant.
Quelques regrets, notamment le fait qu’on ne suit finalement qu’assez peu le déroulement des voyages temporels, au profit du développement des relations entre les personnages. Outre cela, on n’échappe pas à certains clichés, en particulier concernant lesdits personnages, leurs motivations et les sentiments qui se mettent en place. J’ai aussi trouvé que le passage du temps était mal géré: parfois on découvre que de longues périodes ont passé, alors qu’on a l’impression que seulement quelques semaines ou mois se sont écoulés. Il m’a semblé aussi qu’il y avait une ou 2 incohérences entre ce que disent les personnages et leurs actes. Pour finir, je me serais passée des quelques scènes de sexe parfaitement inutiles (et exagérées), même si on a vu plus explicite.
Au vu du précédent paragraphe, vous allez penser que je n’ai pas apprécié ma lecture ^^ Au contraire, j’ai vraiment bien aimé ce livre. Il y a énormément d’idées très intéressantes et un tas de rebondissements que je n’ai pas vu venir, pour mon plus grand plaisir. Il se passe plein de choses, il y a de l’action et de l’aventure, on ne s’ennuie pas. J’ai bon espoir que les quelques bricoles qui m’ont gênée soient corrigées dans le tome 2, que j’attends de pied ferme!
En bref: une lecture sympathique et distrayante, j’ai passé un bon moment malgré les défauts
Premier coup de coeur de l'année ! Des voyages dans le temps, des mystères et une héroïne extraordinaire, tout ce qui me fallait !
https://auxpetitsbonheursweb.wordpress.com
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