"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
A la question « pourquoi les "chaises" ? », Nina Padilha répond que c'est à cause du film Phénomène, avec John Travolta. Il y interprète George, garagiste, qui tombe amoureux de Lace, une jeune femme qui s'est récemment installée dans la ville avec ses deux enfants, et qui vend des chaises hideuses, de fabrication artisanale, qu'il achète et garde précieusement, entreposées dans son garage. A un de ses amis, brouillé avec son épouse, le médecin du village a rétorqué : « Et tu t'es occupé de ses chaises, à elle ? » Les chaises de Nina Padilha sont ses poésies. Des choses intimes, précieuses, même bancales, elle en est fière car elles viennent du plus profond d'elle-même. Elles sont écrites dans un français qu'elle veut impeccable. Elle aime cette langue si complexe et compliquée. « La poésie ruisselle de mes doigts et inonde ma vie. Voici quelques écrits du coeur, que j'aime. Ce sont des rimes, des poèmes, des chansons, que je partage avec vous. Et ne dit-on pas que la poésie est la forme harmonieuse que prennent les mots en passant par le coeur ? »
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