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Au cours des années 1820 et 1830, en donnant aux décors et à la mise en scène un rôle inédit, le théâtre opère la révolution qui accompagne le développement de nouveaux genres.
Le drame à la Comédie-Française, l'opéra historico-romantique et le ballet romantique à l'Opéra sont l'occasion de créer des décorations qui enthousiasment les spectateurs. En témoignent Othello, Hernani, Robert le Diable, La Sylphide, Le Prophète, L'Africaine... Grâce à la machinerie installée dans les cintres et les dessous, aux trucages, à l'éclairage au gaz et bientôt à l'électricité, aux grandes machines préfigurant les peplums, tout est en place pour que le spectacle commence.
S'appuyant sur l'intérêt suscité par l'Histoire, tous, librettistes, compositeurs, décorateurs, sans oublier le public, communient dans le rêve de couleur locale ou de vérité historique. On copie, détourne, imagine des édifices anciens. Certains sont gothiques d'autres renaissants et bientôt même rocaille. Comme on revisite le passé, on se tourne vers la Nature et un Orient mythique. Les décorateurs vont créer et avec l'aide de régisseurs - on ne parle pas encore de metteur en scène - des images si fortes qu'elles sont déclinées à l'envi jusqu'à la fin du siècle.
Au moment où se constitue le roman national, le théâtre sait en être la caisse de résonnance et les décors, sa version imagée.
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