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Une nuit de décembre, un meurtre a lieu au Palace de Verbier, dans les Alpes suisses. L'enquête de police n'aboutira jamais.
Des années plus tard, au début de l'été 2018, lorsqu'un écrivain se rend dans ce même hôtel pour y passer des vacances, il est loin d'imaginer qu'il va se retrouver plongé dans cette affaire.
Que s'est-il passé dans la chambre 622 du Palace de Verbier?
Avec la précision d'un maître horloger suisse, Joël Dicker nous emmène enfin au coeur de sa ville natale au fil de ce roman diabolique et époustouflant, sur fond de triangle amoureux, jeux de pouvoir, coups bas, trahisons et jalousies, dans une Suisse pas si tranquille que ça.
Nul, nul, nul! Mal écrit, histoire et personnages sans profondeur, sans intérêt. Jusqu'au bout j'ai cru qu'il allait enfin se passer quelque chose. Et bien non en fait. La chute est téléphonée, l'intrigue plate, sans relief, sans rebondissement crédible. Nul nul, nul .
Il s’agit du deuxième roman lu de cet auteur : mon premier était l’affaire Harry Québert. J’avais acheté l’Enigme de la chambre 622 depuis un sacré bout de temps mais j’ai vu passé pas mal de critiques très négatives. du coup, je l’ai mis dans ma PAL. Il m’a fallu une panne de lecture pour me décider à le sortir, en dépit de ce que j’avais lu ici ou là.
Bien m’en a pris puisque j’ai adoré ce roman. Il y a quelques points négatifs effectivement à ce roman, mais ça ne m’a pas gêné plus que ça.
Je l’ai lu en quelques jours avec le sourire, avec cette fin un poil décevante, mais avec des rebondissements, à en faire pâlir Netflix. En lisant certains rebondissements, j’étais obligée de poser le livre et de me remettre de mes émotions. Je m’attendais à tout, sauf à ça. Mais non seulement, le premier rebondissement (exceptionnel) m’a fait sourire, mais la suite m’a fait exploser de rire. En fait, j’ai tout de suite pensé aux séries Lost et à la casa de papel : les scénaristes sont tellement partis dans tous les sens, que pour justifier la complexité de l’intrigue, s’en sortent avec des rebondissements capillotractés. En tant que fan des 2 séries, j’ai souvent levé les yeux au ciel, mais j’ai continué tout en me disant que de toute façon, il fallait s’attendre à tout, et que la crédibilité ne serait de toute façon pas au rendez-vous. Peu importe au final : j’ai donc adoré ce roman. Netflix va-t-il acheter les droits ? L’histoire ne le dit pas (ou en tout cas, je suis pas au courant).
Mise à part cette particularité, j’ai adoré l’intrigue : le roman se lit très facilement, la narration est très fluide, si bien qu’on est rapidement plongé dans le roman, tout comme dans le roman « L’affaire Harry Québert ». L’auteur parle à la première personne et s’inclut lui-même dans l’histoire. L’auteur en profite pour rendre hommage à son ancien éditeur décédé avant l’écriture de ce roman.
Attention quand même puisque dans le roman, il y plusieurs temporalités et une multiplicité de personnages qui peuvent perdre le lecteur (post-it conseillés pour retrouver qui est qui, mais l’auteur a ce talent pour nous rappeler de temps en temps qui est qui par rapport à qui, donc si on suit bien l’histoire, on peut s’y retrouver).
Ce fut donc une très bonne lecture qui m’a permis de sortir de ma panne de lecture malgré ses plus de 500 pages. Je recommande +++
Dicker à sans doute écrit son chef d'oeuvre avec "l'affaire Harry Queber"...depuis ses romans ne cessent d'êtres de moins en moins bons. Si l'intrigue pique l'intérêt du lecteur sa mise en forme, la structure du livre et ses personnages ridiculement caricaturaux finissent par faire de ce roman policier un ratage monumental. Alors oui faire d'un palace le lieu d'un meurtre irrésolu est une bonne idée, oui Dicker démultiplie les fausses pistes pour mieux perdre le lecteur....mais ça ne suffit pas.
Trop long.
Et on ne se laisse emporter véritablement qu’à la fin.
(Un peu trop de clichés à mon goût : Corfou, l’éditeur idéal, l’écrivain solitaire, ....)
C’est le premier roman que je lis de cet auteur.
Le titre m’a attiré et l’intrigue me semblait intéressante. Joël Dicker a l’art de découper son récit et connaît les ficelles du polar mais je reste dubitative. Le roman est trop long, je me suis perdue plusieurs fois dans ses sauts de temps donnant une histoire avec trop de rebondissements inutiles. Les personnages sont un peu fades, l’histoire est tirée par les cheveux. Je suis un peu déçue de cette première lecture, j’espère être surprise avec son livre La vérité sur l’affaire Kleber que je viens d’acheter.
Joël Dicker déborde d'imagination dans cette histoire étonnante. J'apprécie toujours autant son style mêle si l'intrigue m'a moins emportée que ses précédents ouvrages.
Ce roman est écrit par un maître du suspense ! On le dévore comme on s’empiffrerait d’un bon dessert. On sait que ça va être bon, mais chaque bouchée est un délice !
La mise en abîme, avec un auteur qui narre l’histoire à la première personne, est savoureuse.
Le roman ouvre bien sûr sur une scène de crime mais on nous en dit très peu pour tout de suite revenir avant le meurtre, dans le quotidien d’un romancier qui n’est pas sans rappeler Joël Dicker lui-même, écrivant un vibrant hommage à son éditeur et ami disparu. C’est lui qui va mener l’enquête, en bonne compagnie, bien sûr, et les allers et retours entre ses avancées et le passé des personnages concernés va maintenir le suspense tout au long des 569 pages que compte le roman.
L’auteur s’amuse, et nous avec : la question n’est pas tant de savoir qui a commis le meurtre que « qui donc a été tué ? ».
C’est bien joué ! Il faut bien sûr adhérer à l'univers genevois de la finance pour parfaitement profiter de l’intrigue. Ce serait ma seule réserve car la plupart des personnages de ce roman évoluent dans cette sphère qui est peut-être trop éloignée de celle du lecteur/de la lectrice pour que se noue un réel attachement.
Un roman qui m'a laissée très partagée : d'un côté une kyrielle de rebondissements, pas toujours crédibles d'ailleurs, dans l'histoire et de multiples fausses pistes dans cette curieuse enquête, qui tiennent le lecteur en haleine ; de l'autre une accumulation de clichés, une écriture sans recherche, et une sensation de "remplissage", comme si l'auteur avait oublier de resserrer son propos pour le rendre plus abouti… Bref ! Une lecture pas désagréable mais quelque peu décevante.
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