80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Je lui dis alors que nous marchons en ville : « Je crois que je ne t'aurais jamais aimée si je t'avais rencontrée dans un autre contexte. » J'ai dû mal articuler ou bien une voiture est passée à cet instant et le vacarme de son moteur a couvert le son de ma voix. Elle me répond : « Je ne vais jamais dans les discothèques. » Dans une discothèque, on danse pour oublier. Oublier le stress, les contrariétés, les déceptions. Oublier qui l'on est. Là où j'ai rencontré Élise, nous dansions pour nous rappeler. Nous rappeler que nous sommes vivants. Dans une discothèque, on danse pour s'approcher de l'autre. Là, nous dansions pour nous approcher de nous-mêmes. Si je ne m'étais pas approché, jamais je ne l'aurais vue.
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