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Au début du XIIe siècle, les sultans ayyoubides, Saladin en tête, se constituèrent une garde personnelle, formée de Mamelouks.
Nés libres, non musulmans, ces anciens esclaves à la peau blanche se virent confier les hauts postes de l'armée, puis de l'État. En 1250, l'un d'eux, Baybars, ancien esclave kiptchak, assassina le dernier sultan ayyoubide et fonda ainsi l'Empire mamelouk qui, jusqu'en 1516, engloba l'Égypte et la Syrie.
Ils donnèrent à l'Égypte et à la civilisation islamique un éclat sans pareil. Après la chute de leur empire, les Mamelouks restèrent le fer de lance de l'armée égyptienne, jusqu'au massacre de leurs chefs en 1811 sur l'ordre de Mehmet Ali.
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