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" Bill Whitehead et moi étions à la recherche d'une petite ferme près de Toronto.
C'était en 1964, deux ans seulement après que nous eûmes tous deux troqué le costume de l'acteur pour la plume de l'écrivain. Le rideau allait se lever sur plus de trente ans de comédie, de tragédie et d'amours romantiques. " Un jeune écrivain, encore à l'aube de ce qui allait devenir son oeuvre, tombe un jour sous le charme d'une vieille bâtisse que cernent broussailles, ronces et pierres dans la campagne ontarienne.
C'est le début d'une longue aventure que Timothy Findley, dans ce style à la fois simple et chaleureux qui est le sien, nous invite à partager. S'y mêlent chapitres consacrés aux travaux du jardin, recettes de cuisine, anecdotes rieuses ou mélancoliques, et souvenirs des animaux, compagnons de toujours : " Pour nous, Stone Orchard a toujours été une sorte de refuge. On y a vu défiler toute une ménagerie d'animaux domestiques, de bêtes errantes et de visiteurs de tout poil, tous bienvenus, et dont certains sont restés avec nous leur vie durant.
" Tout l'art de vivre de Timothy Findley et de son compagnon Bill Whitehead se déploie dans ce livre. Les relations avec la nature, les plantes, les animaux, avec les amis, y sont exceptionnelles et témoignent de l'humanité du grand écrivain canadien. Le Verger de pierres est un hymne à la vie.
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