Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
Les derniers Mohicans de Paris Zozime souffre du syndrome d´Atlas. Elle donne l´impression de porter toute la misère du monde sur ses épaules voûtées. Pourtant, cette femme entre deux-âges est le contraire d´une résignée. Sa révolte est juste tempérée par un humour qui lui permet d´affronter toutes les circonstances de la vie.
Zozime a pour résidence secondaire Chez Raymond, un bistrot d´un quartier populaire de Paris, où elle retrouve son « petit monde » composé de marginaux qui, coudes levés, boivent à la santé du temps qui passe à défaut de le pleurer. Leurs incessantes disputes sont aussi drôles que leurs réconciliations autour du zinc. Ces « derniers des Mohicans de Paname » se sentent menacés, assiégés même, par les « bobos » qui, tels des sauterelles, envahissent leurs rues et bousculent leur tranquillité.
L´émotion et le rire sont au rendez-vous dans ce roman où l´ironie douce-amère d´Ingrid Naour fait merveille.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année
Le jury et les internautes récompensent ce roman publié aux éditions l’Arpenteur