80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Né en 1812 et mort en 1870, Charles Dickens assiste au développement de l'ère industrielle, de la société de consommation et de nouvelles pratiques de lecture qui transforment les usages du document, ce que le romancier commente continuellement dans son oeuvre en ne cessant d'en exposer l'ambivalence. Le texte romanesque donne à voir tout le spectre du document - catalogues, inscriptions, inventaires, lettres, publicités, réclames, journaux, bibles, partitions de musique, affiches de noyade, enseignes commerciales, plaques, testaments, contrats, documents juridiques - dont la présence vient hanter le Londres de Victoria sur le mode de l'obsession. Cette présence imprime sa trace sur les corps, les paroles, les esprits, faisant des personnages des êtres de papier habités par le document. Cet ouvrage propose donc une réflexion sur le lecteur concret et sa réception des textes tels qu'ils se présentent dans les romans de Charles Dickens. Il s'agira de voir pourquoi et comment le romancier cherche à se défaire des supports traditionnels de l'écriture, pour examiner son rêve de textes vivants et réenchantés.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année