"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
" Tu ne savais pas comment je m'appelais.
Ce jour-là, je me suis crue oubliée de toi, maman. Et je n'ai pas compris. " Blessure enfouie de Joséphine, petite fille de quatre ans... Prélude à d'autres chagrins. Plus tard, beaucoup plus tard, viendra l'heureuse surprise: " Tu avais, maman, besoin de moi. " Entre ces deux moments, Joséphine transformée au plus profond de son être. L'amour rencontré. Un coeur changé apprivoisant la confiance, protégeant la joie.
Dans une langue simple, empreinte de tendresse, de pudeur, mais aussi de rudesse et d'audace, Geneviève Laurencin nous offre un récit coloré de l'intime, de l'infime. Des pages qui se lisent, se respirent à haute voix. Des textes qui dansent, des phrases courtes, parfois un seul mot, animent de grands espaces blancs. Le flux d'une vie sur un grand fond de silence...
Joséphine a quatre ans.
Elle va voir sa maman à l’hôpital.
Jalousie, déceptions de l’enfance
Joséphine a six ans
Elle est en pension
Solitude et tristesse de l’enfance
Joséphine est adolescente.
Elle part en promenade dans Le Havre
Premiers émois amoureux sur la plage
Joséphine est adulte
Son père est mort, sa mère vieillissante
Retrouvailles et réconciliation.
Un très court roman écrit comme une poésie, en touches subtiles et délicates.
C’est l’histoire d’une vie, c’est tout simplement très beau.
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