"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
" Jiha le passeur était pauvre, très pauvre, pourtant il souriait tout le temps.
Il avait installé sa barque dans un coin du port de Bagdad, et en échange d'une simple pièce, il faisait traverser les voyageurs. Lorsque quelqu'un n'avait rien, Jiha avait coutume d'offrir la traversée. Aussi, il ne s'enrichissait guère. Il s'en moquait, disant qu'il était l'homme le plus heureux. Il prétendait même qu'il était plus heureux que le grand calife car ce dernier courait éternellement après de nouvelles richesses tandis que lui, Jiha, ne désirait rien de plus que ce qu'il avait.
Et son sourire, son éternel sourire lui donnait raison. Car le calife était réputé pour son regard fermé et ses yeux en colère. Bien évidemment, tant de bonne humeur agaçait ceux qui ont du fiel dans le coeur... "
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