"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Romancier, essayiste, musicologue, homme de radio et de cinéma, Alejo Carpentier aura profondément influencé la culture latino-américaine. Après Coabana, où nous le voyons échapper à la prison à Cuba grâce à Robert Desnos puis vivre à Paris un entre-deux guerres fait de bonheurs et de galères mais aussi nourri de rencontres avec tous ceux qui font la vie artistique de l'époque. Après Coabana, voici les années Orinoco, un exil volontaire au Venezuela, quinze années de folie où le temps de l'Amérique latine se compte en coups d'état.
Pourquoi ce départ ? Une promesse de justice et de liberté dans ce pays de dictatures ? La découverte d'un continent qu'il aurait reçu en héritage ? Pour se consacrer à l'oeuvre littéraire dont il rêve depuis sa jeunesse ? Une seule certitude au moment d'ouvrir ce livre, c'est au Venezuela en effet que tout commence. Là qu'il écrira ses premiers grands romans. Le royaume de ce monde, Le partage des eaux, Chasse à l'homme. Il lui fallait pour les écrire la Cordillère des Andes et les tepuys, ces tables de géants à la naissance du monde, les fleuves, de l'Orénoque à l'Oyapock et toutes les Caraïbes.
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