Au pays de l'absurde, il est du dernier chic qu'un pingouin assiste aux enterrements. Victor, de retour chez lui, ne saurait s'étonner de rien, surtout après un séjour en Antarctique... Acteur d'aventures tragicomiques pas aussi invraisemblables qu'elles ne le paraissent, il traverse, un peu hébété, une société complètement déboussolée qu'il observe de son nouveau job de conseiller en communication d'un futur député, sans pour autant oublier son pingouin préféré. Un jour à Kiev, le lendemain à Moscou, le jour suivant en Tchétchénie... Bon voyage, Victor !
littérature Ukrainienne. Adepte des défis, cette année un item me propose de lire un livre d'un(e) auteur(e) ukrainien(ne). En général, je choisis mes livres et s'ils rentrent dans les items tant mieux, si non tant pis ... C'est donc la première fois que je choisis un livre en fonction de ce que l'on me demande ... Et c'est une réussite ! J'ai passé un excellent moment avec victor et Micha, le pingouin. Leurs aventures rocambolesques font un peu froid dans le dos mais l'auteur en profite pour y faire une sorte de satire des peuples ukrainiens, russes et tchetchenes ... c'est très malin car du coup très accessible ! Bon, ce livre a été écrit en 2005, la Russie n'avait pas encore déclaré la guerre à l'Ukraine. Donc, depuis la situation a beaucoup évoluer ! Je serais curieuse de lire ce livre modernisé à la sauce 2023 ... Qu'est ce que l'auteur en ferait ... ?
Moins bien que le 1er opus, ce second épisode des aventures du pingouin est néanmoins agréable à lire. Les style s'essouffle tout de même et manque de fraicheur.
J’ai eu énormément de mal à rentrer dans cette histoire, mais passées les premières pages, le roman se lit d’une traite. Au royaume de l’absurde, Victor, que les habitués avaient déjà trouvé dans le précédent roman de Kourkov, « le pingouin », part à la recherche de Micha, son pingouin justement.
Son périple va l’entrainer de Kiev à Moscou puis en Tchétchénie. Frôlant l’absurde et les situations loufoques, mais malgré tout portant un regard acéré et souvent moqueur sur la vie quotidienne soviétique, l’auteur nous entraine à la suite de Victor dans des situations plus incongrues les unes que les autres.
Un moyen de décrire la société Russe avec humour, mais également avec un certain réalisme.
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