Ces poèmes content le destin des révolutions arabes ou, comme on aime le dire, du printemps arabe, en commençant par celle du Jasmin, qui montre une solidarité à toute épreuve, un patriotisme jamais égalé. Mais cette révolution trébuche sur un égoïsme viscéral, donnant naissance à l'anarchie. Les autres peuples du printemps arabe ne sont pas mieux lotis, ils voient même leurs espoirs anéantis par les guerres civiles.
La plume de Le Patriote dessine également l'inégalité des forces dans les conflits au Proche-Orient. Un Conte, un poème qui se trouve au centre du recueil, fait allusion au capitalisme qui est le moteur des guerres...
Quand les dirigeants, « les rois », s'amusent, les peuples entre-tuent. Le nouvel ordre mondial est allé jusqu'à la profanation des religions dont l'Islam, qui est une religion de paix, est désormais perçu comme une religion terroriste.
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