Si certaines sont impressionnantes et effrayantes, d'autres sont drôles et rassurantes !
«D'aucune façon, Versailles ne se laisse toucher. Cependant, il est permis de regarder» écrit Roger Nimier dans le Palais de l'ogre, un texte publié par les éditions Sun en 1958 dans un livre illustré intitulé Versailles que j'aime... Cette célébration de la splendeur artistique du siècle de Louis XIV donne envie de redécouvrir le plus beau château du monde et de se perdre dans ses jardins. Elle nous éclaire par ailleurs de façon singulière sur le « royalisme » de Roger Nimier. Chez le français Nimier, comme chez le portugais Pessoa, le roi n'est pas une figure politique, mais un songe poétique. Avec les fées, les reines, les princes charmants, les baguettes magiques, les bottes de sept lieu et les robes couleurs du Temps, il participe d'une grande rêverie française qui a le bon goût de s'obstiner dans les temps rationnels et marchands. Rêveur incorrigible, Nimier aurait aimé avoir l'honneur d'une reine à défendre comme les personnages des Trois mousquetaires. Ce qu'il fait dans Histoire d'une Reine Morte, autre texte méconnu publié dans le Nouveau Femina en 1955 à l'occasion du bicentenaire de Marie-Antoinette.
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Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
Chacune des deux demeures dont il sera question est représentée dans le sablier et le lecteur sait d'entrée de jeu qu'il faudra retourner le livre pour découvrir la vérité. Pour comprendre l'enquête menée en 1939, on a besoin de se référer aux indices présents dans la première histoire... un véritable puzzle, d'un incroyable tour de force