80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Depuis quarante ans, on ne parle guère de l'autobiographie sans évoquer le « pacte autobiographique ». Mais sait-on à quel point cette idée a évolué entre sa première formulation dans L'Autobiographie en France (1971) et Signes de vie (2005) ? Le présent ouvrage est consacré à la fortune de l'étude la plus citée de Philippe Lejeune, « Le pacte autobiographique » (1973), reproduite intégralement et suivie d'une analyse des débats qu'elle a suscités entre son auteur et des écrivains (S. Doubrovsky, A. Robbe-Grillet) ou d'autres théoriciens (P. de Man, G. Genette, G. Gusdorf, etc.). Le rôle étonnant du « Pacte autobiographique » dans la genèse de l'autofiction a été abondamment discuté. Là n'est pas, pourtant, le seul impact d'une étude qui a aussi ouvert la voie à une conception pragmatique du genre littéraire et représente, en plein règne du Texte, un effort pour penser la référentialité de la littérature.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", nous explique Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année