L'histoire : il n'y en a pas... ou alors plusieurs.
Jérôme Men Du est un cadre moyen, " manager " en zone urbaine sensible, dans une grande entreprise française de service public : " Les Entrepôts ". Déjà transformée en société anonyme, celle-ci suivrait sans doute le destin graduel assigné à la convoitise...
...Sauf si, le quinquagénaire dépressif héros, pour sortir de l'impasse se décide enfin à écrire.
Celui qui voulait se donner un genre se découvrira progressivement un style et un sens à la vie, en travaillant au fil d'un récit picaresque - à l'évocation de ses amours d'antan - des personnages truculents et des anecdotes aigres-douces ; en ancrant la mémoire des disparu(e)s.
À un malaise ambiant au travail, il oppose le seul remède pour survivre à l'instant : la dérision avant le sursaut collectif, évitant de sombrer comme tant d'autres, sacrifiant irrémédiablement et inutilement leur vie, nouvelles victimes d'une bien drôle de guerre.
Le nom de la Bête est un livre sur le mal qui est en nous ; dans une société qui diffuse des signes croissants d'inquiétude, avec un libéralisme débridé qui progresse, comme la bête qui monte, qui monte...
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Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Merci à toutes et à tous pour cette aventure collective
Lara entame un stage en psychiatrie d’addictologie, en vue d’ouvrir ensuite une structure d’accueil pour jeunes en situation d’addiction au numérique...
Un douloureux passage à l'âge adulte, entre sensibilité et horreur...
