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De poèmes en poèmes, le lecteur ne peut qu'éprouver le tiraillement de sentiments contradictoires.
La tendresse sourde par petites gouttes, pour décrire deux petits garçons, Anton et Sacha, qui « S'habillent rêveurs... à l'envers à l'endroit...
Leurs étiquettes à l'air ». L'humour, essentiel, se faufi le à toutes les pages comme pour cette « Mouche qui reste à la traîne, elle qui rêvait d'être la plus jolie des reines ». L'humour, toujours, pour aborder la tragédie des hommes : « Mourir ?
Bon, d'accord, mais gaiement ! ». L'optimisme incite, au printemps, à regarder « Les délicieuses gambettes féminines perchées sur des percescoeur ». L'optimisme encore est de mise, qu'on se balade en France ou en Chine, « Rions des douleurs, elles tombent dans l'oubli », « Existons fi ers d'être mortels sans fard ni gant ».
Et la colère s'infi ltre ici ou là, sourde et persistante. Ainsi Jean Cirnal dénonce l'apathie de certains qui « Restent assis et tournent le dos au levant ». Terrible constat que l'auteur fait dans « Les étrangers ». Nos enfants perdus, le sont-ils pour toujours ? Tout doit-il se terminer en rouge ? Devons-nous, pour améliorer cette société, utiliser nos « Cornes contre ce béton ».
« Où est le chemin ? » s'interroge l'auteur.
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Dernière réaction par Jean-Thomas ARA il y a 13 heures
Dernière réaction par Yannis Fardeau il y a 3 jours
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