"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
«En 1944 disparaissait le sculpteur Aristide Maillol. L'ouverture de son musée à Paris en 1995 est à la fois un hommage à sa mémoire et la possibilité de découvrir une oeuvre qui a transformé l'art de la sculpture au même titre que les grands pionniers, comme Matisse, Picasso ou Kandinsky, ont bouleversé le champ de la peinture moderne. Avant lui, la sculpture, héritière d'une tradition séculaire, incarnait une fonction de représentation d'ordre mythologique, historique ou littéraire. Maillol a rompu avec cet académisme qui a dominé tout le XIX? siècle. Il a créé un type de beauté lié à la représentation du corps qui lui a permis d'exprimer sa perception du monde. Contrairement à un Picasso passant d'un style à un autre, Maillol a pu faire toute une oeuvre en s'appuyant sur une seule idée, en la développant à l'infini sans jamais en épuiser les possibilités.» Bertrand Lorquin.
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