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Le Masque des choses, ou une poésie née de l'observation rêveuse, de celle qui fait que le monde bascule du réel. Une chute qui n'est pas ici abîme, naufrage, mais bien transcendance, car elle touche à l'onirique, renforcée qu'elle est par la prise de pouvoir de l'imagination. Ainsi ce recueil aborde-t-il un certain au-delà, où les « choses » deviennent lieux de fantasmes, où la vie - même minuscule - devient incomparablement précieuse, où le non-dit et le dissimulé sont abolis par le règne de l'intuition et de l'empathie.
Le sommeil, le rêve, le fantasme, la projection. Ces images et motifs reviennent fréquemment sous la plume de D. Ducarin. Ils témoignent ainsi de l'attrait du poète pour les territoires intérieurs, propices au songe et à l'évasion, mais encore de toute son attention aux vibrations et pulsations secrètes du monde et des gens.
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