Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
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Ce 4e tome est mieux construit au niveau du scénario : plus fluide, plus clair, moins éparpillé avec un recentrage sur quelques personnages et notamment Hijikata / Serizawa. Il en va de même pour le graphisme, plus précis dans les traits, les corps (celui de Serizawa), les combats.
Désormais appelé le Seichu Roshi, le Roshigumi de Kyoto se structure de plus en plus. La mangaka essaie d'introduire (maladroitement) les enjeux politiques via le Choshu et un coup d'état avorté. Si on ne connait pas un peu la base historique, on se perd complètement entre Niimi, Katsura, Yamazaki, etc.
La mangaka fait un focus sur le traitement des femmes de manière explicite (elle l'avait déjà évoqué dans le tome 2) notamment sur la jeune femme Aguri aimée et aimant Aijiro du Roshigumi de Kyoto. Les hommes utilisent les femmes et les violent sans aucun problème et si Aijiro n'avait pas été assassiné pour que Saeki puisse violer plus tranquillement Aguri, il n'est pas sûr que son viol et son suicide aurait ému la troupe. En même temps, cet arc narratif sert essentiellement au passage de flambeau symbolique entre Serizawa et Hijikata, le premier lui délivrant un message de leader, le second décidant de son propre modèle (que la mangaka traduit platement par : ne pas faire comme Serizawa).
Un avant dernier tome mieux structuré, plus plaisant, mais qui reste maladroit.
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Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Merci à toutes et à tous pour cette aventure collective
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