Passionné(e) de lecture ? Inscrivez-vous gratuitement ou connectez-vous pour rejoindre la communauté et bénéficier de toutes les fonctionnalités du site !  

Le livre jaune t.16 : le régulateur du régime écossais rectifié

Couverture du livre « Le livre jaune t.16 : le régulateur du régime écossais rectifié » de Joseph Castelli aux éditions Editions Maconniques
Résumé:

RITUELS COMPLETS.
1er grade : Apprenti, 2ème grade : Compagnon, 3ème grade : Maître, 4ème grade : Maître écossais de Saint André, Novice, Chevalier Bienfaisant de la Cité Sainte, Profès, Grand Profès.
Version de 1782, complétée par Willermoz et communiquée par lui en 1802.
Les renseignent... Voir plus

RITUELS COMPLETS.
1er grade : Apprenti, 2ème grade : Compagnon, 3ème grade : Maître, 4ème grade : Maître écossais de Saint André, Novice, Chevalier Bienfaisant de la Cité Sainte, Profès, Grand Profès.
Version de 1782, complétée par Willermoz et communiquée par lui en 1802.
Les renseignent ont été fournis par les cahiers de correspondances de J-B. Willermoz - Bibliothèque Municipale de Lyon.
Dans la seconde partie du XVIIIème siècle, il est apparu nécessaire à certains Francs-Maçons Écossais de rectifier leurs rites. La rectification a été motivée par la dérive d'un nombre croissant de Loges vers des pratiques rituelles beaucoup trop pénétrées de courants extérieurs à la Franc-Maçonnerie ; sur cette voie elle risquait de perdre son authenticité et sa spécificité. Il s'agissait pour leurs auteurs, moins de porter un jugement de valeur sur les autres systèmes ésotériques de l'époque, que de retrouver le pur esprit de la Franc-Maçonnerie Écossaise des premiers temps.
Par ailleurs le code des Loges réunies rectifiées de 1778 faisait nettement apparaître une volonté d'assainir les mentalités et les comportements des Francs-Maçons de bonne moralité et de bienfaisance, qui fréquentaient alors les Loges de rite Écossais. Une autre motivation de la rectification semble être d'instituer et de structurer un Ordre de Chevaliers Maçons, s'inscrivant dans la grande tradition initiatique, et doté de ses propres cérémonies, devises, croix, etc.
Cette rectification s'est faite sur une trentaine d'années, en trois époques bien distinctes. La plupart sont donnés par J-B. Willermoz à Charles de Hesse dans sa lettre du 10 septembre 1810 : La date est celle de 1778, avec le Convent des Gaules qui a rédigé le code des Loges rectifiées, le code général des règlements de l'Ordre des Chevaliers bienfaisants de la Cité Sainte, ainsi que les bases des rituels qui seront adoptés à Wilhelmsbad.
En juillet et en août 1782, le Convent général de Wilhelmsbad légitime le Régime Rectifié et lui donne une reconnaissance internationale. Il en arrête les codes, la règle et les grades, dont le nombre et les noms diffèrent quelque peu de ceux fixés par le Convent des Gaules. Il choisit les rituels et fixe les dernières modifications à y apporter.
À partir de 1782, ce sont des Frères de Lyon, réunis en commission autour des Chanceliers J-B. Willermoz et J-J. Millanois, qui ont en charge de rédiger définitivement les rituels adoptés au Convent de Wilhelmsbad.

Donner votre avis