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En partageant la vie intime de ses personnages, le narrateur lève un pan sur les drames de l'Histoire qu'elle recèle et qui n'en finit pas de se répéter. Mais loin d'être simple spectateur, il fait partie intégrante de ce récit dans lequel il se livre, sans fard et avec humour. Nostalgique de l'amour enfui, du pays perdu, de la jeunesse disparue, il reste un combattant de la mémoire et un poète, qui, tel l'Étranger de Baudelaire, aime les nuages qui passent.
En partageant la vie intime de ses personnages, le narrateur lève un pan sur les drames de l’Histoire qu’elle recèle et qui n’en finit pas de se répéter. Mais loin d’être simple spectateur, il fait partie intégrante de ce récit dans lequel il se livre, sans fard et avec humour. Nostalgique de l’amour enfui, du pays perdu, de la jeunesse disparue, il reste un combattant de la mémoire et un poète, qui, tel l’Étranger de Baudelaire, aime les nuages qui passent.
Ce livrée est une longue nouvelle d'une histoire d'amour à sens unique (115p) racontée à la 1ere personne du singulier.
Le narrateur est un brin hypocondriaque puisque le roman se déroule entre 2 lieux :son quartier et l hôpital La Pitié de Paris. Il relate au travers des déambulations de cet homme l histoire compliquée et tortueuse de son pays. Ses compatriotes sont mentionnés notamment Azad, avocat dévoué au sort de ces demandeurs d asile. Un focus est fait sur le triste et terrible sort de cette population tyrannisee et coincée entre la Turquie et la Syrie.
Ce roman, instructif, est plein de nostalgie et de souvenirs mais avec 1 lueur finale d espoir.
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