"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Le Dernier voyage d'Alexandre de Humbolt met en scène l'un des plus grands naturalistes du 19e siècle.
De manière jubilatoire, Étienne Le Roux et Vincent Froissard renouent avec les grands récits d'exploration du temps où la terre recelait encore des espaces inexplorés.
Cela commence ainsi.
Nous sommes le 22 décembre 1847.
Alexandre de Humboldt, célèbre naturaliste à la retraite, doit se rendre au repas annuel de l'Académie des sciences, lorsque une jeune fille se présente à lui avec le carnet du dernier voyage de son défunt père, Aymé Bonplant, disparu dans la jungle amazonienne.
À la lecture de ce carnet, Humboldt décide de partir immédiatement de l'autre côté de l'Atlantique sur les traces de celui qui fut un confrère estimé mais surtout un ami.
Ce départ précipité fait sensation à l'Académie. Pourquoi le vieil homme, qui n'est plus parti en expédition depuis si longtemps, a-t-il tout laissé pour, une nouvelle fois, explorer le monde ?
Son grand rival à l'Académie, subodorant une découverte sensationnelle, part à sa suite.
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