L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Sous le voile de ce que l'on appelle encore aujourd'hui la " pudeur féminine ", il y a le complexe d'Ève. Je nomme ainsi l'articulation poétique entre, d'une part, le désir de connaissance et, d'autre part, la découverte de la mort. Dire ce désir et cette découverte revient à faire du sujet de langage - l'homme, la femme - un sujet pudique - sa nudité est imprésentable. Par-delà l'interprétation morale du " péché originel ", de cette pudeur est indissociable la condition poétique du sujet connaissant. Dans la perspective de cette prévalence de la pudeur, la relecture des écritures bibliques selon approches philosophiques et théoriques contemporaines, et l'analyse des oeuvres Violette Leduc et de Marguerite Duras, montre que la littérature est le lieu privilégié où faire l'épreuve d'une mimèsis sans modèle.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Mêlant la folie à l’amour, l’auteur nous offre le portrait saisissant d’une « femme étrange » bousculant les normes binaires de l’identité sexuelle
Dans ce recueil de 13 nouvelles, la jeune autrice mexicaine frappe fort mais juste
Une fiction historique glaçante et inoubliable, aux confins de l’Antarctique