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Le commerce, c'est la guerre conteste l'orthodoxie dominante d'après laquelle le libreéchange bénéficie à tout le monde. Ce livre prouve, par un récit détaillé, justement le contraire.
Yash Tandon n'est pas un intellectuel de salon ; il puise son savoir dans plus de trente années d'expériences sur le terrain. Il est le fondateur et le Président du SEATINI et l'ancien Directeur exécutif du Centre Sud, un think tank des pays du Sud. Le commerce, c'est la guerre montre comment l'OMC, les Accords de partenariat économique (APE), comme ceux négociés entre l'Europe et l'Afrique, tout comme d'ailleurs le Grand marché transatlantique (TAFTA ou TTIP), sont imprégnés d'une idéologie masquant un système qui ne roule que dans l'intérêt des entreprises transnationales.
Ce système en crise provoque des conflits en Afrique, en Asie, en Amérique, et aussi en Europe. C'est un navire en train de couler. Cependant partout, des gens résistent.
Le commerce, c'est la guerre propose une autre vision : des milliers de bateaux avec, à bord, des communautés autonomes, non violentes et qui travaillent de façon décentralisée, échangeant sur la base de la valeur d'usage selon les besoins réels de l'humanité.
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