«Le Colonel Chabert ne remporta pas d'emblée le succès qui est le sien aujourd'hui. De son vivant, Balzac fut avant tout l'auteur de La Peau de chagrin (1831), d'Eugénie Grandet (1833), ou du Père Goriot (1835), autres romans toujours aussi célèbres à présent, avant que son oeuvre ne soit consacrée par le monument de La Comédie humaine (1842). De nos jours, en revanche, Le Colonel Chabert le dispute en célébrité à ces oeuvres très connues. À juste titre, dira-t-on : le pathétique d'un personnage condamné sinon à mort, du moins à rester mort, d'un homme victime de sa femme et de la société, une descente aux Enfers et une résurrection aux accents fantastiques, l'efficacité d'un court récit où se succèdent vifs dialogues, art du conte, description des envers parisiens, tout cela a de quoi séduire, et attacher.» Aude Déruelle.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !
