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Une histoire attachante, des textes poétiques et des citations issues de rencontres et de tranches de vie partagées avec des personnalités exceptionnelles, le tout illustré de magnifiques photos.
L'Unesco a inscrit sur la liste des éléments du patrimoine mondial nécessitant une sauvegarde urgente le tchovgan, jeu équestre traditionnel pratiqué à dos de chevaux karabakh. Cette inscription est, pour l'Azerbaïdjan, une très grande réussite. Pas seulement parce qu'elle implique une série de mesures destinées à redonner un peu de vitalité à une activité culturelle et sportive déclinante, mais aussi (et surtout) parce qu'elle met à l'honneur une race de chevaux qui fait intimement partie de son histoire.
L'événement est considérable : c'est la première fois que l'Unesco s'engage à ce point, et reconnaît la contribution d'une variété animale à la conservation du patrimoine mondial de l'humanité. Pour l'Azerbaïdjan, la victoire n'est pas seulement culturelle ou sportive. Elle est aussi diplomatique. Car le cheval ainsi honoré n'est pas n'importe quel cheval. Il porte le nom de sa région d'origine, son berceau, le Haut-Karabakh, qui est occupé militairement depuis plus de vingt ans par un pays voisin.
Reconnaître ce cheval comme appartenant au patrimoine de l'Azerbaïdjan, c'est reconnaître du même coup l'azérianité historique. Ce beau livre illustré raconte l'épopée de ce peuple et de son animal emblématique.
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