Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
Chantal AZEMA nous plonge dans des souvenirs d'enfance et de vacances dans la maison de famille autour des années 1950, une campagne idéalisée, dans une atmosphère de joie de vivre et d'insouciance, cette période a donné à l'auteure l'envie irrésistible d'y vivre plus tard.
Puis, elle raconte la réalisation tardive de ce rêve à l'âge de la retraite, et le contact avec la réalité brutale de la nature.
À un âge avancé, ce n'était pas rien de souffrir du froid, de l'inconfort, de l'isolement, d'essayer de maîtriser une végétation envahissante, des animaux invasifs, dans une vieille ferme datant de 1800, entourée d'un grand terrain de près d'un hectare.
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