"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Parce que " chaque vie animale est un roman, chaque vie humaine une montagne qui plonge dans la mer ", Gilbert Bordes célèbre dans tous ses livres l'amour de la vie sauvage, des bois et des chemins, mais aussi des hommes et des femmes qui les parcourent. Dignes de Genevoix, les contes du Chat derrière la vitre font la part belle au renard, au lièvre ou au cerf qui en sont les héros. Fabuliste moderne, Gilbert Bordes se défend d'en tirer la morale, car " la nature n'a aucune notion du bien et du mal " ; elle peut même se permettre, comme dans L'Heure du braconnier, de renouer des liens que l'on croyait rompus : car c'est l'amour du braconnage, legs de ses ancêtres, qui ramène au village de Nigérac un mari disparu et un père inconnu, afin de perpétuer la tradition... Dans Une vie d'eau et de vent, c'est un autre visiteur, tout aussi inattendu, qui viendra déranger les secrets bien gardés de la Jeugie, une ferme écartée des rives de la Dordogne. L'irruption de Pablo est-elle donc liée à la disparition d'Henri Lapierre, dont on est sans nouvelle depuis qu'il a pris le maquis oe
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