"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
La première apparition du Major Grubert se perd dans la nuit des temps... le problème, c'est qu'on ne s'est pas très bien à quel moment de la nuit l'événement a réellement eu lieu... était-ce d'ailleurs la nuit ?..les temps étant ce qu'ils sont de par l'univers, on doute que la notion de nuit et de jour y subsiste, à moins d'adopter l'hypothèse de la lumière divine et de son ombre portée... Et c'est vrai qu'en se drapant d'éternité le major prête à une sorte d'olympe new-age où la magie du désir côtoie l'abîme déprimant de la satisfaction lasse. Par bonheur, Moebius en s'attelant à la tâche impossible de rendre compte de ces déambulations aléatoires, nous permet d'entrevoir l'univers spatial du rêve où le temps de la nuit est aveuglé par la lumière d'un soleil exclusivement onirique. Car en effet, c'est de rêve qu'il s'agit là... uniquement de rêve.
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