Inspirée d’une histoire vraie, cette BD apporte des conseils et des solutions pour sortir de l'isolement
Alice croyait avoir trouvé la maison de ses rêves...Quand Léo et elle emménagent au Cercle de Finsbury, une résidence haut de gamme en plein Londres, la jeune femme est persuadée de prendre enfin un nouveau départ. Et tant pis si les choses sont allées un peu vite avec Léo et si celui-ci a pris en charge leur emménagementsans véritablement la consulter. La maison est parfaite, la résidence idéale, et les voisins semblent si accueillants !... Mais ce fut celle de ses pires cauchemars. Lorsqu'Alice apprend que Nina, qui vivait dans la maison avant qu'ils n'emménagent, y a été sauvagement assassinée, le vague sentiment d'insécurité qu'elle ressentait jusqu'alors se transforme en peur, puis en terreur. Une présence étrange semble hanter les murs et ni Léo, qui semble lui cacher beaucoup de choses, ni les voisins, qui consacrent le plus clair de leur temps à s'épier les uns les autres, ne la rassurent. Et puis l'on passe bien trop facilement d'une maison à l'autre, à l'intérieur du Cercle, pour pouvoir y dormir en paix.
BA Paris va mettre à rude épreuve vos nerfs, c'est à nouveau un roman difficile à poser sans en connaitre le dénouement. Il fait monter votre tension à son paroxysme. La peur aussi nous envahit avec cette présence ressentie par Alice entre les quatre murs de cette maison.
Alice a du mal à quitter son cottage de Hallerstone, c'est tout ce qui lui reste depuis le décès de ses parents et de sa soeur Nina, dans un accident de voiture. Léo, son petit ami depuis un an la persuade qu'il a trouvé la maison idéale au sein du cercle de Finsbury. Ils vont franchir le grand pas et vivre enfin ensemble. Cette résidence privée, sécurisée aux 12 maisons identiques est un paradis. Si Alice aime Léo elle n'aime pas cette maison. Les voisins n'ont plus ne semblent pas l'apprécier surtout Tamsin, une ex-mannequin. Quand elle apprend, que dans sa nouvelle demeure un meurtre a été commit sur une certaine Nina - thérapeute - et surtout que Léo lui a caché cette information volontairement, son sang ne fait qu'un tour. Elle se met en quête de la vérité avec l'aide d'un étrange détective qui lui assure qu'une erreur judiciaire a été commise en accusant le mari de la victime. Les langues se délient et si la vérité se trouvait au coeur même de ce cercle ? Alice saura-t-elle faire la part des choses, Nina n'est pas sa Nina. le danger est palpable, mais ne semble pas la dérouter. Sa peur ne fait que grandir.
Un roman à dévorer rapidement, attention il vous plonge en apnée et ce n'est que du plaisir. n'hesitez pas à faire un tour sur le blog pour la chronique plus développée https://happymandapassions.blogspot.com/2021/03/cercle-de-finsbury-ba-paris-avis.html
Un thriller féminin bien mené comme savent, si typiquement, les concocter les auteures britanniques.
Le titre était pour moi énigmatique et j'imaginais une histoire un peu ésotérique. Le cercle de Finsbury est tout simplement une résidence fermée dans laquelle douze maisons particulières encerclent un parc. Léo achète l'une d'elles pour y vivre avec Alice, sa nouvelle compagne. Une étrange impression de présence la nuit dérange la jeune femme, d'autant que Léo est souvent absent. Quand elle apprend qu'un meurtre a été commis dans cette maison, avant son arrivée, elle n'a de cesse, malgré son effroi, d'élucider le mystère. C'est un véritable huis clos, dans cette résidence sécurisée où l'assassin ne peut être qu'un des voisins.
En parallèle, un énigmatique psychologue, qui semble souvent déménager, écrit sur une nouvelle patiente. Il faut attendre le dénouement pour comprendre qui il est.
C'est dans une ambiance bobos-friqués mâtinée de Deseparate Housewives, que B.a. Paris place ce thriller assez verbeux. L'intrigue traîne entre fausses pistes et papotages de voisinage. Elle ne m'a pas rendue Alice sympathique. Ce personnage manque de consistance et empêche le lecteur de rentrer complètement dans l'intrigue.
J'ai néanmoins passé un moment agréable avec cette lecture qui a trouvé son public, au vu des nombreuses critiques élogieuses. Pour moi, c'est délassant, facile à lire, une bonne lecture de vacances, mais sans plus.
https://ffloladilettante.wordpress.com/2021/07/07/le-cercle-de-finsbury-de-b-a-paris/
Le Cercle de Finsbury, The Therapist dans la version originale parue en 2021, a été publié par les éditions Hugo thriller en 2021. Le style de l'auteur est élaboré, sobre et à la fois riche de précisions utiles pour brosser le décor: "Depuis que nous avons emménagé, il y a dix jours, je n'ai rencontré qu'une seule personne. Maria, qui habite au neuf. Elle faisait monter ses trois petits garçons, qui avaient visiblement hérité de ses cheveux bruns et épais, plus deux superbes labradors, dans son monospace rouge." (Page 11)=> En quelques mots bien choisis, on apprend l'essentiel à propos d'une voisine.
Racontée au présent à la première personne, l'écriture hypnotique de B. A. Paris happe le lecteur d'une façon très subtile, enroulant autour de lui les tentacules invisibles, mais bien réels, d'un suspense qui devient insoutenable au fur et à mesure que l'histoire progresse. Seul moyen d'y échapper: lire jusqu'à la dernière ligne!!
Construction: chapitres en italique: un homme inconnu du lecteur, qui reste anonyme presque jusqu'à la fin, retranscrit les séances de psychothérapie avec sa nouvelle patiente, dont, bien entendu, on ignore le nom. En parallèle, se déroule l'histoire d'Alice, qui vient d'emménager au Cercle de Finsbury, en plein cœur de Londres.
Thèmes: la résilience ( En psychologie, terme qui désigne l'aptitude à faire face avec succès à une situation représentant un stress intense en raison de sa nocivité ou du risque qu'elle représente, ainsi qu'à se ressaisir, à s'adapter et à réussir à vivre et à se développer positivement en dépit de ces circonstances défavorables); psychopathe, tueur en série; l'amitié comme force et non comme handicap.
Alice et Léo viennent d'emménager dans leur nouvelle maison, en plein centre de Londres. désireuse de connaître ses nouveaux voisins, la jeune femme, malgré les réticences de son compagnon, les réunit chez eux, autour d'un verre. Mais qui est cet homme qui se fait passer pour Tim, le mari de Maria et qui disparaît après qu'elle lui ait fait visiter l'étage où Léo a fait faire d'importants aménagements? L'ami d'un voisin? Quelqu'un de complètement étranger à la Résidence? Et pourquoi personne ne se souvient de lui?
Alice, qui travaille chez elle, se sent seule. Elle voudrait se faire des amis parmi les résidents du Cercle, mais Tamsin, qui ne semble pas l'apprécier, se montre froide et distante avec elle. Pourquoi? C'est alors qu'elle apprend par un détective privé que leur maison a été le théâtre d'un crime horrible: Nina Maxwell, l'ancienne propriétaire, a été assassinée dans sa chambre après qu'on lui ait coupé les cheveux, celle que Léo et Alice occupent actuellement. Les circonstances troubles, notamment l'absence de signes d'effraction, et des témoignages ne concordant pas avec ses déclarations, ont convaincu la police de la culpabilité d'Oliver, son mari. Soupçons qui ont été confirmés par son suicide, peu après.
Pourquoi Léo ne lui a pas parlé du meurtre? Pourquoi a-t-il fait croire à l'agent immobilier et à leurs voisins qu'elle était au courant et que ça ne la dérangeait pas plus que ça de vivre sur les lieux d'un meurtre? Quels secrets cache-t-il? Alice réalise soudain qu'elle ne le connaît pas vraiment, qu'elle ne sait pas grand chose de lui...Doutes et colère s'immisce dans son esprit. Et si Nina n'avait pas été assassinée par son mari mais par son amant? Et si ce dernier était le mari d'une de ses voisines et que les autres feraient front pour protéger leur tranquillité? Alice a d'ailleurs remarqué combien ses questions dérangent ceux qu'elle considère comme ses nouveaux mais...Cela signifierait qu'Alice n'est plus en sécurité dans la maison. N'a-t-elle pas constaté que quelqu'un s'introduit chez eux la nuit, en l'absence de Léo? La jeune femme, obsédée par cette affaire, voulant savoir ce qu'il s'est vraiment produit cette nuit-là, est décidée d'aller jusqu'au bout et d'aider Thomas, le détective qui l'a contactée.
Et si votre voisin n'était pas celui qu'il prétend? Et s'il dissimulait, sous ses airs affables, un dangereux psychopathe. De ce thème souvent exploité, B. A. Paris signe un thriller psychologique puissant, tout à fait captivant, évitant tous les écueils du genre avec maestria. Le fait que l'intrigue soit doublée d'une enquête criminelle rend le roman encore plus addictif.
Le talent de l'auteur à manipuler le lecteur, sa maîtrise de l'art du suspense est véritablement bluffante : elle excelle à orienter nos soupçons alternativement vers chacun des résidents, en faisant un suspect possible, chacun ayant un mobile pour le meurtre de Nina. La tension dramatique monte crescendo, entraînant le lecteur et la narratrice dans une spirale infernale, nous conduisant à soupçonner tout le monde, même Léo, son compagnon, même l'agent immobilier qui leur a vendu la maison. Et jamais le lecteur se dit qu'elle se trompe, la suivant dans ses hypothèses toutes aussi envisageables, malgré les apparences, cédant peu à peu le pas à la paranoïa... Jusqu'au coup de théâtre final. C'est là que réside le talent de l'auteur.
Le +: la dimension fantastique avec la présence du "fantôme de Nina", la jeune femme assassinée, ou celui de la soeur d'Alice, morte dans un accident de voiture des années plus tôt, qui se prénommait également Nina, l'auteur jouant sans cesse sur l'ambiguïté pour installer un climat malsain, dérangeant.
Malgré quelques longueurs je me suis laissé prendre par ce roman en quasi huis-clos, dont l'intrigue nous réserve un très beau suspense.
L'auteure a également l'art de manipuler ses lecteurs pour mieux les égarer afin de maintenir leur attention jusqu'au final . Vous êtes prévenus !
Le personnage central de ce roman et la narratrice est Alice Dawson , une jeune femme d'une trentaine d'années, traductrice de son état , qui vient de débarquer dans une résidence ultra sécurisée constituée de douze maisons identiques.
Elle a quitté la campagne et son cottage d'Harlestone dans le Sussex pour emménager avec son compagnon Léo Curtis, consultant en gestion de risques, au Cercle de Finsbury. Léo, en voyage pour son travail à Birmingham jusqu'au jeudi , Alice se retrouve seule une bonne partie de la semaine . Grâce à une soirée organisée à leur domicile , le couple va faire connaissance avec leurs voisins , Ève et Will , Maria et Tim , Tamsin et Connor ou Cara et Paul .
Alors que rien ne semble vouloir troubler le bonheur d'Alice et Léo dans leur nouvelle demeure , l'ambiance dans le couple va pourtant vite se dégrader quand Alice va apprendre par hasard que la maison dans laquelle elle vit , a été le théâtre d'un meurtre . Une psychothérapeute du nom de Nina Maxwell, a été tuée et son mari accusé du meurtre s'est suicidé. Un grain de sable supplémentaire va apparaître quand elle va apprendre qu'un parfait inconnu s'est immiscé lors de la soirée qui s'est déroulée chez elle il y a quelques jours .
Comme une accumulation de mauvaises nouvelles qui semblent vouloir submerger Alice . Au proie aux doutes , l'esprit perturbé par une atmosphère de plus oppressante, le sentiment qu'elle est épiée la nuit et que Léo comme les voisins lui cachent de lourds secrets , le souvenir coupable de la mort de sa soeur Nina décédée dans un accident de voiture qui vient la hanter . Tous ces éléments négatifs vont mettre à rude épreuve les nerfs d'Alice qui sait que la seule manière de retrouver la sérénité est de mener sa propre enquête sur la mort de Nina Maxwell.
L'auteure britannique nous offre une nouvelle preuve de sa virtuosité. Une descente aux enfers pour l'héroïne et un scénario diabolique pour ses lecteurs. le rythme semble faire du sur-place , mais instille à l'aide de petites touches le décor du drame . La psychose s'installe peu à peu dans l'esprit d'Alice , sa confiance s'émousse et de vieux démons resurgissent mais le besoin de vérité reste un moteur efficace de motivation.
Un roman où l'intensité psychologique remplace un déluge d'actions . Difficile de lâcher ce livre quand vous êtes pris dans l'absolue nécessité de découvrir le bouquet final . Et je peux vous dire que vous allez être surpris !
Vous est-il déjà arrivé qu'un livre hante vos nuits au point de vous empêcher de dormir ? Eh bien, moi oui !!! Cela a été le cas avec le dernier B.A Paris qui est juste une bombe !!
Quoi, vous avez peur ? Moi je vous dis que vous allez vérifier plusieurs fois que votre porte d'entrée est bien fermée à double tour et qu'il n'y a personne dans votre chambre, c'est ce que j'ai fait ! Oui, j'avoue je suis un peu trouillarde sur les bords.
Revenons-en au cercle... C'est un livre qui m'a tenu en haleine, vous l'aurez compris. L'auteure, par son écriture fluide, ses mots percutants arrive à nous manipuler ! Ce livre aux faux airs de " Desperate Housewives" a de quoi vous retourner le cerveau. Nous voici plongé au cœur de la vie des résidents du cercle, là où un drame s'est joué. L'auteure installe un climat inquiétant dès le départ et la tension monte au fil des pages. B.A Paris distille petit à petit les ingrédients d'un thriller domestique efficace. C'est si additif, que ce livre je ne voulais plus le lâcher !
L'intrigue est rondement menée avec des personnages bien travaillés. J'ai soupçonné tout le monde. Au fond, connait-on réellement ses voisins ? J'ai apprécié le fait que le roman soit écrit à la première personne, du point de vue d'Alice. De ce fait, je me suis rapidement attachée au personnage. Celle-ci m'a touché pour sa sensibilité et son désir de savoir ce qui s'est passé réellement le soir du drame. J'ai ressenti toutes ses émotions et frissonné avec elle car l'atmosphère est anxiogène ! Personnellement, je ne serai pas resté dans l'appart après avoir découvert la vérité ! Et la fin ? Quel fin ! Elle est à la hauteur du roman ! J'ai passé un excellent moment de lecture, ce livre est de la même veine que "Derrière les portes" alors n'hésitez pas une seule seconde !
J’ai retrouvé avec plaisir l’imagination de B.A. Paris dans ce thriller domestique passionnant. Après avoir beaucoup apprécié l’an passé Le Dilemme, je me suis laissée prendre au suspense bluffant de ce nouvel opus: Le Cercle de Finsbury est machiavélique !
Le Cercle de Finsbury est une résidence sécurisée de Londres comprenant une douzaine de maisons idéales et accueillantes, dans laquelle vivent paisiblement plusieurs familles. C’est là qu’Alice Dawson, traductrice, emménage avec son petit ami Léo Curtis, spécialiste dans la gestion de risque. Un grand pas pour la jeune femme qui quitte sa campagne natale pour vivre avec l’élu de son cœur. Désireuse de s’intégrer parmi ses voisins qui semblent tous s’être liés d’amitié, Alice décide de les inviter à un apéritif. Les choses se gâtent lorsqu’elle se rend compte sur le tard qu’un parfait inconnu qu’elle a confondu avec un de ses voisins, s’est immiscé dans leur petite fête, allant jusqu’à visiter leur maison… Est-ce un simple pique-assiette ou un homme qui nourrit de sombres desseins?
Lorsqu’Alice apprend qu’une jeune psychothérapeute a été sauvagement assassinée dans la maison avant qu’ils n’y emménagent, le sentiment d’insécurité s’amplifie. Elle a l’impression qu’une présence hante les murs, et que quelqu’un vient les épier pendant leur sommeil… D’autant plus que Léo, qui doit s’absenter quelques jours par semaine pour effectuer des déplacements professionnels semble lui cacher certaines choses… Perturbée par le fait que la jeune femme assassinée porte le nom de Nina, tout comme sa propre sœur décédée par sa faute dans un accident de voiture, Alice s’intéresse de près à cette tragédie et questionne le voisinage sur la mort de Nina. Tout accuse le mari de celle-ci, Oliver, qui après avoir clamé son innocence, s’est suicidé. En emménageant dans cette résidence finalement pas si paisible que cela, Alice est prise dans un engrenage infernal.
Comme le suggère son nom, la résidence a la forme d’un cercle, où toutes les maisons se font face, permettant à chacun d’avoir une vue sur son voisin, voire de l’épier… Dans cette atmosphère qui s’avère rapidement étouffante, Alice, encore bouleversée par un passé qu’elle ne parvient pas à oublier, semble véritablement obsédée par le meurtre qui a eu lieu sous son toit, et que son compagnon a préféré lui cacher, pour acquérir cette maison sans son avis, à un prix très attractif… Entre les deux tourtereaux, ce n’est pas la joie : Alice ne parvient plus à faire confiance à sa moitié. Les relations avec les voisins deviennent rapidement oppressantes: entre messes basses, mensonges, manipulations et apparences trompeuses, tout est là pour créer une ambiance anxiogène.
L’auteure surprend une nouvelle fois dans sa capacité à captiver son lectorat, elle nous prend en otage car on ne peut lâcher ce livre avant d’en connaître la fin, nous laisse le temps de faire nos suppositions avant de nous dévoiler un dénouement totalement imprévisible.
Je remercie Net Galley et les Editions Hugo Thrillers pour cet excellent moment de lecture!
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