Notre liste de lecture pour passer une journée comme on aime : un livre à la main
Une fois encore Nicolas Barreau nous embarque dans une magnifique histoire d'amour, qui nous enseigne que laisser tomber son sac dans le Grand Canal, faire confiance à un vénitien à la beauté ténébreuse et sentir la terre se dérober sous les pieds peut aussi être une chance.
Éléonore Delacourt a vingt cinq ans et aime la dolce vita. Elle ne court pas, elle se promène. Elle n'est pas impulsive, mais réfléchie. Elle ne déclare pas sa flamme, elle préfère en rêver. Timide et romantique, elle adore s'évader dans les livres et croit aux présages, petits messagers du destin. Elle n'a pas hérité de l'intrépidité de sa grand-mère, qui l'a pourtant élevé et lui a légué l'objet qu'elle chérit le plus : une bague en grenats avec une gravure en latin Omnia vincit amor.
Elle n'est a priori pas le genre de fille qui, de but en blanc, vide son compte en banque et, par une froide matinée de janvier, saute dans un train à destination de Venise ! Mais parfois la vie est imprévisible et une phrase énigmatique retrouvée dans un vieux livre peut avoir des conséquences inattendues...
Notre liste de lecture pour passer une journée comme on aime : un livre à la main
Eléonore, dite Nelly, est secrètement amoureuse de son professeur de thèse dont elle est l'assistante.
Le jour où celui-ci lui propose de l'accompagner à New York pour un congrès, elle n'ose pas lui avouer qu'elle a la phobie des avions et invente une histoire de chien à garder.
Quand Nelly apprend que le professeur va quitter son poste pour rejoindre une de ses élèves en Italie le ciel lui tombe sur la tête, elle s'enferme chez elle et passe les fêtes de Noël seule à se morfondre.
En rangeant son appartement elle retrouve un livre de sa grand'mère , livre dédicacé en Italien et tout de suite elle fait le rapprochement avec la bague qu'elle porte en souvenir de celle-ci.
Elle décide de partir à Venise sur les traces du signataire du livre ...........
L'auteur nous fait découvrir Venise, ses gondoles, ses verreries, ses masques ....... et bien sûr l'AMORE ....
Un roman plaisant qui fait passer un agréable moment de détente car très facile à assimiler.
Ce roman est merveilleux !! Fantastico ! J'ai toujours aimé la langue italienne (je ne saurais pas dire pourquoi) mais j'aime beaucoup ! Alors visiter Venise, et ses gondoles ! En faisant la connaissance de tout ses personnages qui sont d'une gentillesse ! C’est vraiment génial ! Vive Venise ! Vive Valentino ! Amor vincit omnia !! Merci Nicolas Barreau pour ce merveilleux roman qui m'a fait voyager ! Grazie mille !
Nelly est une jeune étudiante secrètement amoureuse de son professeur. Celui-ci, sans le savoir, lui brise le coeur, suite à quoi Nelly trouve un livre dans les affaires de sa grand-mère avec une note manuscrite à l'intérieur. La jeune femme décide donc de partir à la recherche de l'histoire de ce livre, et donc sur les traces de sa grand-mère.
Une très belle histoire qui nous fait entraîne en terre italienne auprès de personnages vraiment attachants. Un roman qui donne le sourire et qui nous fait rêver et voyager.
Un livre que j'ai pris un réel plaisir à lire et que je ne peux que conseiller.
Je viens de tourner la dernière page. Ce n'est pas le meilleur livre de cet auteur. Je l'ai fini parce que j'avais très apprécié ses autres livres! Très descriptif, il ne se passe pas grand chose, j'ai même perdu certains événements ou personnages sur de longs passages!
Une déception pour ma part...
De Paris à Venise, d’un amour à l’autre
La recette de Nicolas Barreau a beau être à chaque fois la même, elle n’en reste pas moins très efficace. Ce voyage à Venise en apporte une nouvelle preuve.
Héloïse d’Ormesson nous offre chaque année depuis 2015 un nouveau roman de Nicolas Barreau (un pseudonyme derrière lequel les journalistes allemands ont cru reconnaître l’éditrice allemande Daniela Thiele). En 2014, avec Le sourire des femmes, il – conservons pour l’instant le masculin – avait d’emblée trouvé un large public, déjà avide de ce que l’on appelle aujourd’hui les feel good books. Suivront, avec le même succès Tu me trouveras au bout du monde, La Vie en Rosalie et Un soir à Paris.
Le café des petits miracles utilise les mêmes ingrédients de la comédie romantique que les ouvrages précédents et réussit à nouveau à nous concocter une délicieuse recette, pour peu que l’on adhère à sa croyance en la devise des chevaliers, « ces trois mots magnifiques et puissants inscrits sur leurs armoiries et drapeaux: Amor Vincit Omnia» (l'amour triomphe de tout).
Trois mois qui sont aussi inscrits sur l’anneau que Nelly a hérité de sa grand-mère et qui vont la mener à Venise. Mais n’anticipons pas.
Au début du livre la jeune femme est à Paris, amoureuse de son prof de philo. Une flamme qu’elle n’a pas osé déclarer, attendant le moment opportun. Quand ce dernier l’invite à l’accompagner Outre-Atlantique pour un séminaire, on se dit que l’opportunité est bien belle. Sauf que Nelly ne peut prendre l’avion, victime d’une phobie liée à un accident qui l’a traumatisée. Elle devra patienter… et laissera passer sa chance.
C’est en désespoir de cause qu’elle prend le train pour Venise par un froid matin de janvier, histoire de se changer les idées, de découvrir la Sérénissime, mais surtout pas pour tomber dans les bras du premier dragueur venu. Il ne va d’ailleurs pas tarder à surgir, le beau Valentino, pour lui proposer de la guider dans la ville. Mais Nelly ne veut pas se laisser conter fleurette. « Elle aspirait à l’amour, certes. Mais pas à une aventure avec un séducteur (aussi sympathique fût-il), aventure qui serait terminée avant même d’avoir eu le temps d’épeler le mot «avventura». Un Italien ne pouvait s’empêcher de chercher à conquérir le cœur d’une jolie femme — c’était une sorte de sport national. » Mais quelquefois les circonstances – un sac qui tombe sur une gondole – vous poussent à réviser votre jugement.
On se doute bien qu’après quelques rendez-vous manqués et autant de quiproquo, l’amour va finir par l’emporter.
Comme dans la chanson de Jo Dassin, dans ce petit café un peu à l’écart,
« Au rendez-vous des amours sans abri
On était bien, on se sentait seuls au monde
On n'avait rien, mais on avait toute la vie ».
Si l’histoire est certes cousue de fil blanc, elle nous permet de déambuler dans Venise, d’apprendre plus joyeusement que dans un guide de voyage la topographie, l’architecture, l’histoire de cette ville sans doute tout aussi romantique que Paris.
Et quel mal y aurait-il à se laisser entraîner par le charme, l’émotion, la douceur des choses? http://urlz.fr/752N
Mais comment j'ai aimé ce livre. Une histoire d'une douceur intense, un voyage dans une des villes les plus mystérieuse du monde, et une jeune fille Nelly qui a besoin de tant d'espoir pour croire à la magie. Un livre qui se dévore pour un moment de repos et de détente, je le conseille à qui à envie d'un bon moment ...
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