80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
« Le bonheur assassiné », « La déracine qui mène à la démence » : 1970, le trou des halles. L'amour, la baise, la viande. Ce roman est un document dans une écriture de l'instant, qui baigne dans le sang des mandataires en boucherie aux « Halles de Paris ». Un refus de vivre au présent. Une jeunesse que le modernisme fascine, qui se gave de paroles dans une fournaise entretenue par l'argent et les désirs fous des offrandes de la vie de demain. Rungis et ses carrelages blancs, les vieux et leur crasse qui firent cet aujourd'hui qui les rend aveugle. Le bonheur des autres, l'insoutenable de ceux qui souffrent.Un crime nommé « échappatoire », cette lutte, il faut en écouter les bruits en oubliant ses mots.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année