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« Martin trouvait ça effrayant, la vie. C'était abyssal, un vide qu'on occupait comme on pouvait. Pourquoi ? Tu nais (si l'avortement t'épargne), tu vis (si l'euthanasie t'épargne), tu meurs (si la vie t'épargne). Et puis quoi ? Tout ça pour quoi ? Juste comme ça ? Pour rien ? De passage ? Mundus vult decipi, ergo decipiatur. Le cancer de la vie l'avait pris. Il n'avait rien demandé. » Dans un Paris qu'il ne reconnaît plus, Martin erre... Car si ici-bas tout semble être à sa place, lui ne trouve pas la sienne. Sans rejeter son existence, il cherche à la comprendre, incapable de lui trouver un sens profond. Reste la mort, sensation omniprésente et compagnon du quotidien.
Alors, à quarante ans et à défaut de tuer la mort, Martin se met en quête de comprendre et d'apprivoiser ses angoisses. C'est là que le divin s'invite dans son âme.
Grâce à sa rencontre avec l'abbé Larro, il découvrira dans une spiritualité bienveillante les réponses à ses questions d'éternité et du pourquoi nécessaire de la vie. Pour Martin, Dieu n'est pas mort, « Dieu est en réparation ».
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