En ce début d'été 2011, un homme ayant perdu son agenda décède, 15 jours plus tard à l'hôpital (I). Peu après, un autre, dont la femme est partie à une noce, fait l'apprentissage du célibat (II). Qu'ensuite, un troisième se soit réveillé en se demandant « ce que vivre voulait bien dire » ne nous surprendra plus (III)... Autant de pérégrinations insolites que l'auteur se délecte, avec humour, à décrire avant de raconter, sans pouffer de rire, les souvenirs, très approximatifs, d'un amour incompris (IV) et ceux, plus graves assurément, d'une naissance ayant profondément marqué un de ses amis (V) ! Au travers de ces réjouissances estivales, il aborde des thèmes éternels comme le sentiment amoureux ou les vicissitudes de l'existence, ou encore l'écriture autour de laquelle s'articule la Dernière semaine (VI), qui clôt ce Recueil d'été 2011 ? d'une folle légèreté ? et, par là-même, le cycle de « L'année transitionnelle » inaugurée par le Recueil d'automne 2010 ? d'une tonalité bien plus sombre.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année
