"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Une mère et son fils en cavale trouvent refuge dans la petite communauté de Mill Grove, en Pennsylvanie.
Mais dans ce havre de paix, le petit garçon disparaît.
Quand il émerge de la forêt six jours plus tard, il a l'air indemne.
Lui seul sait que quelque chose a changé.
La voix du bois est dans sa tête et lui dicte une mission.
S'il ne lui obéit pas, sa mère et tous les habitants de Mill Grove risquent son courroux...
Entre suspense effroyable et richesse émotionnelle, Stephen Chbosky renouvelle la littérature de l'horreur. À lire les lumières allumées.
Après le suicide de son époux, une mère (Kate) et son enfants (Christopher) en fuite de son nouveau compagnon violent (Jerry) trouvent refuge dans une communauté en Pennsylvanie mais l’enfant va disparaître, une semaine s’écoule celui va alors être retrouvé sans blessures physique ou psychologique en apparence. L’enfant à le sentiment que quelque chose à changé en lui mais personne ne l’écoute, puis il entendra une voix à l’intérieur de lui se revendiquant êtres la voix des bois. Cette voix menaçante lui confie une tâche en invoquant qu’il fera du mal à la mère de l’enfant et au habitant de la communauté.
Un bon livre, mêlant suspense et horreur. Chbosky est bien souvent comparé au grand maître de l’horreur Stephen King on dit même qu’il serait son successeur. Une histoire très bien ficelée, captivante, ce livre contient aussi une morale. Un jolie pavé.
"Christopher regarde dans les yeux de sa mère. Il voit grâce à sa lumière. Il voit la réponse. Tant qu’elle possède cette lumière, il y a de l’espoir.
Mais la lumière faiblit."
L'ami imaginaire un pave de plus de 980 pages et je l'ai lu sans (presque) le lâcher. Attention reference à Stephen King donc passez votre chemin si cela n'est pas votre style de lecture ... L'histoire est sympa : Christopher et sa mère s'enfuient en Pennsylvanie, Christopher est dyslexique, on se moque souvent de lui à l'école et puis un jour il parle à des nuages visages, qui le mènent au bois Mission Street où il disparaît pendant 6 jours à l'endroit même ou 50 ans plus tôt un enfant prénommé David à lui aussi disparu, quand il réapparaît Christopher à changé ...
Qu'est-il arrivé à Christopher dans les bois lors de sa disparition ? Pourquoi doit-il construire une cabane dans les bois ? Qui est le gentil monsieur avec qui il parle et que personne ne voit à part lui ? Qui est la dame qui siffle ? Au début, j'ai eu beaucoup de mal trop de personnages interagissent de plus ou moins loin avec Christopher pour son bien ou pas et on plonge dans le fantastique, on vague entre le monde réel et le monde irréel avec lui, on voit les gens se transformer pour être d'un coté ou d'un autre . D'accord au passage, on note quelques petits travers des enfants qui sortent en pleine nuit sans jamais (ou presque) se faire prendre, le bien, le mal, la religion peuvent aussi rebuter certains et il faut avouer aussi que le livre aurait pu être réduit de plus d'une centaine de pages, la fin se fait attendre, c'est looong et certaines révélations m'ont surprise pas du genre : " je ne m'y attendais pas" mais plus : " un ? " (surtout pour la femme qui siffle) Son gros défaut avoir mélangé trop de style et puis une erreur qui commence à devenir récurrente dans les livres même si l'amour que se porte Christopher et sa maman est jolie les personnages (leurs histoires) sont survoles du coup, on ne s'attache pas aux personnages à aucun personnage ... Ce livre n'est pas un coup de coeur me concernant mais une jolie decouverte .
L'ami imaginaire ou je ne sais pas ce que l'auteur a fumé, mais ça devait être de la bonne.
Ce roman est un pavé de presque 1000 pages. Et si je n'ai pas vu passer les 300 premières, ce ne fut pas la même chanson pour le reste.
Christopher est un petit garçon âgé de 9 ans qui vit seul avec sa mère. Cette dernière, mère courage, à qui la vie n'a pas vraiment fait de cadeau, veut que son fils ait l'enfance la plus heureuse et insouciante possible. Arrivés dans une petite ville de Pennsylvanie, même si joindre les deux bouts est difficile, elle pense que la roue va tourner. Jusqu'au moment où Christopher disparaît; on ne le reverra pas durant six jours. A son retour, quelque chose a changé. D'imperceptible certes mais de tangible. Et si la chance semble être au rendez-vous les semaines suivantes, l'expérience va vite tourner au cauchemar.
Le parallèle avec Stephen King est vite trouvé avec cet auteur, et pas seulement parce qu'il porte le même prénom. Clairement, même si je ne peux pas me proclamer spécialise du King, il me reste trop d'ouvrages à découvrir, le style, la manière et les thèmes abordés ne peuvent pas ne pas faire penser à l'autre Stephen, celui de l'horreur, de Simetierre ou du Ça. Mais la différence est que si j'ai apprécié Simetierre dans la mesure où il y avait une vraie histoire derrière, je ne peux pas en dire autant de cet opus.
En effet, j'ai beaucoup aimé le premier tiers du roman, me plongeant à chaque fois dans le livre avec plaisir, ayant cette impression d'être dans une sorte de cocon, d'être bien tout simplement. Mais, à partir d'un certain moment, le plaisir s'est émoussé et j'ai commencé à trouver le temps long, très long. L'incursion du fantastique fut fatal à ma lecture.
Entendons-nous bien, je savais bien que ce roman ferait plus que flirtait avec le fantastique, que j'aurais les deux pieds dedans – ou plutôt les deux yeux – pendant une large partie de ma lecture, mais, là, ici, ça ne l'a pas fait. Et j'en étais doublement frustrée parce que jusque-là j'appréciais beaucoup l'histoire. C'est un peu l'effet Rose Madder, du King, dès que le fantastique est venu se mêler à l'histoire, j'ai décroché.
Je ne saurais pas vraiment dire pourquoi, peut-être parce que c'était trop gros, ou parce que j'aurais voulu que l'histoire aille dans une autre direction.
Ici, surtout, j'ai trouvé que le dénouement était long, mais long, ça n'en finissait pas, et qu'il y avait beaucoup trop de répétitions. Les références religieuses m'ont également beaucoup gênée. Non pas que je sois anti-cléricale mais je n'ai pas vraiment compris où l'auteur voulait en venir. Et, selon moi, il souhaitait réellement nous mener quelque part, la toute dernière ligne du roman en est la preuve. Mais chez moi, au lieu de faire « oh my God ! », ça a plutôt fait « hein ? ». Il faut peut-être être américain pour apprécier, leur rapport au religieux étant très différent du nôtre.
En résumé, un roman qui m'aura finalement laissé un sentiment étrange et pour lequel je reste, et resterai encore à l'avenir, dubitative. Je ne l'ai pas abandonné, preuve s'il en est que ma lecture ne fut pas non plus pénible, mais j'en attendais certainement beaucoup plus, en tout cas autre chose. Je peux comprendre qu'on l'adore comme je peux entendre qu'on le déteste. Pour ma part, ça restera une drôle de lecture qui m'aura quand même perdue en cours de route malgré ses qualités.
Lu en décembre 2021 – janvier 2022
En commençant la lecture de ce roman je m’attendais à un thriller qui me ferait avoir vraiment peur et passer des nuits blanches.
Malheureusement cela n’a pas été le cas.
L’histoire n’est selon moi pas assez approfondie. Il y a de bonnes idées mais elles ne sont pas exploitées.
Le rapport d’enquête traîne en longueur et finalement on n’en voit pas vraiment ni la fin ni le but...
L’auteur ne donne pas assez de détails ou de descriptions. Je ne suis pas arrivée à m’imaginer les lieux, les personnages et encore moins ce qu’ils pouvaient ressentir.
J’ai eu souvent l’impression que l’auteur se répétait comme s’il avait l’intention d’écrire un maximum de pages (750 pages) sur un sujet qui finalement était épuisé en 200 pages…
Certains personnages auraient pu être attachants si Stephan Chbosky avait pris la peine de leur donner une vie, un passé, des sentiments, ce qui n’est pas du tout le cas.
Beaucoup de questions sont restées sans réponse et c’est vraiment frustrant.
J’ai tout de même voulu lire le rapport d’enquête jusqu’au bout m’attendant à une fin plus surprenante mais malheureusement l’épilogue m’a aussi déçue.
Au final beaucoup de choses ne sont pas expliquées et la fin est sans réel lien avec l’histoire en général.
Je suis peut-être sévère mais c’est avec franchise que j’avoue avoir eu l’impression de perdre mon temps en lisant ce rapport d’enquête et c’est la première fois que cela m’arrive. Comme quoi la longueur, les avis positifs ne font pas tout...
Si je n’ai qu’un seul conseil à vous donner, ne perdez pas votre temps avec ce rapport d’enquête et passez votre chemin.
https://fais-moi-peur.blogspot.com/search/label/affaire%20n%C2%B0781
Christopher et sa mère emménagent à Mill Grove en Pennsylvanie après avoir fui Jerry, le petit ami violent de sa mère. Peu de temps après Christopher disparait et réapparaît 6 jours plus tard, sortant de bois de Mission. Il est affaibli mais indemne, il n'a aucun souvenir de ces 6 jours dans le bois mais il sait que quelque chose a changé en lui. Lui qui a toujours eu des problèmes de compréhension à l'école arrive maintenant facilement à résoudre ses problèmes et puis il y a cette voie, celle du gentil monsieur qui lui demande construire une cabane dans l'arbre qui trône au milieu de la clairière du bois. Christopher ne parle pas de la voix à sa mère ni à ses copains a qui il demande un coup de main pour la cabane, il a peur d'être pris pour un fou comme feu son père. Mais il se pourrait que le monde imaginaire auquel il a accès impacte toute la ville et pas pour le meilleur.
J'ai beaucoup aimé ce roman fantastique pleins d'émotions. J'ai adoré Christopher et David qui sont extrêmement touchants. Il y a nombre de personnages et de petites histoires parallèles qui rendent le roman dense, riche et addictif. J'ai beaucoup aimé la relation de Christopher et sa mère ainsi que la force de l'amitié qui lie Christopher et ses copains. C'est un beau pavé qui se dévore jusqu'aux trois quarts, ensuite il y a quelques longueurs (trop impatiente de découvrir la fin peut être?) avant d'arriver au point final.
L'auteur crée un monde fantastique plein de dangers et de possibilités, qu'on appréhende petit à petit. On y rencontre des personnes boîte aux lettres, on apprend à voler, on s'immerge dans ce monde parallèle.
Un roman envoûtant et émouvant que je recommande.
« Ne quitte pas la rue, tu vas mourir. »
Un roman présenté comme la succession des meilleures histoires de Stephen King. Je me vois dans l’obligation d’y plonger mirettes, de me laisser engloutir par ma couverture et de craindre la plus terrible des peurs. L’ami imaginaire.
Christopher, 7 ans, et sa mère Kate viennent d’emménager à Mill Grove. Bourgade égarée, mal répertoriée sur les cartes, une planque qui devrait leur assurer sécurité. L’enfant disparaît dès les premières pages, pour réapparaître quelques chapitres plus loin. Qui, comment, pourquoi ? La ville oublie sa disparition, se concentre sur la joie des retrouvailles.
L’enfant s’est égaré dans la forêt.
L’enfant est revenu différent, blindé de capacités qui n’étaient pas les siennes.
Et ce gentil monsieur à qui il s’adresse.
Ces cerfs sur la route.
Des mystères qui apparaissent au long des pages, épaississent le doute, tissent l’horreur qui lentement s’insère à travers les chapitres.
Le roman se tisse autour de Christopher, embrigade d’autres personnages comme ses copains d’école, ce flic amouraché de Kate, ou encore une jeune femme priant Dieu à chacune de ses actions. Aucun n’est épargné, tous se joignent à la danse macabre pour laquelle la ville est conviée.
Revenu des bois, à quel prix ?
La femme siffle.
Elle souffle les cauchemars sur la ville.
Stephen Chbosky conte des cauchemars, ouvre des portes vers un imaginaire qu’on pensait avoir enterré avec l’enfance. La terreur grandit. On tombe dans le piège de mots qui étranglent toute raison. Roman singulier, mêlant les genres, s’appropriant des codes pour mieux les bousculer. L’Ami imaginaire ne laisse pas indifférent. Un pavé. Une histoire qui s’incruste dans la caboche, des personnages difficiles à oublier.
Faites attention aux cerfs sur la route.
Et ce sentiment d’une main invisible sur votre épaule…
Fuyez dans la rue, vous y serez en sécurité.
Un roman qui a secoué mes terreurs d’enfant.
Un songe noir et implacable de 749 pages.
Un roman à dévorer. L'auteur nous plonge dans un récit horrifique et terriblement émouvant ! Un jeune garçon Christopher disparaît pendant 6 jours et réapparaît différent de ce qu'il a été.... Le roman bascule dans le fantastique mais nous livre aussi une belle réflexion sur l'amour d'un fils et de sa mère, sur l'amitié, la souffrance et c'est ce qui rend ce roman aussi impressionnant. Et comme toute bonne histoire terrifiante la tension et la violence montent crescendo ! Un auteur à suivre!
En voilà un bon, de roman fantastique ! Et pas qu’à moitié. Un beau bébé, de 748, autant dire des heures et des heures de lecture.
Oui, quand on commence ce pavé, on peut se demander : l’auteur va t-il parvenir à garder un bon rythme jusqu’au bout ? L’histoire ne va t-elle pas être trop longue ?
Les réponses sont simples : oui, le rythme est maintenu jusqu’à la fin (je dirais même que Stephen Chbosky parvient à la faire monter crescendo tout au long du roman, malgré un début déjà élevé, ce qui n’est pas donné au premier venu !), et non, l’histoire n’est pas trop longue.
En fait elle est juste comme il faut.
Le fantastique n’est pas forcément ma tasse de thé. Et jusqu’à celui-ci, je n’en ai tellement adoré qu’un seul : 22/11/63, de Stephen King.
J’en ai maintenant un deuxième à recommander, même s’ils sont très différents, y compris à ceux qui comme moi ne sont pas fans du genre.
Les personnages sont terriblement attachants. Leur façon de parler, de penser, leurs espoirs et leurs désillusions, tout est présenté au lecteur de manière à ce qu’il ressente presque autant que les protagonistes. Christopher en tête, bien sûr, mais pas uniquement. Je me suis personnellement beaucoup attachée à Kate, sa mère. Son parcours, ses envies, ses choix et ses peines sont si bien retranscrits que j’avais la sensation de lire l’histoire d’une vieille amie.
Le côté horrifique n’est pas particulièrement présent, et c’est très bien ainsi. Bien entendu il se passe des choses terribles, mais la symbolique est si importante qu’elle allège idéalement les scènes « choc ».
Durant ma lecture j’ai régulièrement pensé à un conte. Terrifiant, certes, mais ne les sont-ils pas tous en définitive ?
Prenez un peu de Peter Pan, du Petit Poucet, de Hansel & Gretel, saupoudrez d’une pincée de Stranger Things... et ajoutez-y énormément de talent, vous obtiendrez L’Ami Imaginaire.
Armé d’une imagination phénoménale, l’auteur nous transporte dans un monde à la fois tout à fait similaire et complètement différent du nôtre. On s’y sent comme chez soi, tout en étant totalement dépaysé.
Bref, vous l’aurez compris, je recommande vivement la lecture de ce roman, et le suivi de cet auteur !
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