Neufchâtel-en-Bray, vendredi 7 février 1930.«Cette nuit j'ai tué accidentellement mon mari» vient déclarer à la gendarmerie la jeune Gisèle Bourdet, épouse du maître des Sablons à Saint-Saire. «Hé bien, voilà une affaire résolue d'elle-même», se satisfait déjà le commandant Le Blancen prenant sa déposition.Mais l'enquête qui s'en suit révèle rapidement que la meurtrière, à peine sortie d'une institution religieuse, n'a pas tout dit de son horrible forfait, loin s'en faut. Quand sorcellerie et magie noire viennent peser sur l'enquête d'un crime en apparence si simple...«Les mains assassines», une collection d'enquêtes judiciaires tirées d'histoires vraies.
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