"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Primo Levi l'appelle la zone grise.
Jorge Semprun l'a décrite. C'est un malentendu accepté, une confusion des genres, du mal, du bien, " qui sépare et relie à la fois les deux camps, celui des maîtres et des esclaves ". Symbole de la résistance des déportés dans le système concentrationnaire nazi, Buchenwald a t-il connu lui aussi une zone grise ? Depuis la Libération, polémique et procès ont nourri, sali, malmené l'histoire d'une résistance légendaire.
Mais les questions restent sans réponse. Quel était le rôle exact des communistes français au sein de l'administration du camp ? Qui était vraiment Manhès ? Et Marcel Paul ? Et qui décidait du tri des vivants et des morts ? Soixante ans après la Libération du camp, Olivier Lalieu rouvre le dossier Buchenwald. A partir d'archives neuves et de témoignages inédits, il révèle histoire de la résistance des déportés français : le combat entre politique et droits communs, l'heure des choix, les jours troubles et les circonstances exactes de la libération du camp, le 11 avril 1945.
Tout y est dit, simplement. La vérité, sans état d'âme.
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