80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Pour la première fois, le colonel Éric Emeraux, à la tête de l'Office central de lutte contre les crimes contre l'humanité (OCLCH), révèle le quotidien des enquêteurs de cette petite unité de la gendarmerie nationale confrontés à l'insoutenable et à l'indicible. Massacres de masse, exécutions sommaires, tortures, les récits des survivants revenus de l'enfer dépassent l'entendement : Lejla, la Bosniaque, qui a vu son mari et son fils emmenés pour toujours par les milices serbes ; Désirée, la Rwandaise tutsi, dont les enfants ont été découpés à la machette sous ses yeux ; Darius et Steve, les Libériens, contraints d'assister à des séances d'éviscération et de cannibalisme ; Nazim, le Syrien, qui raconte les plaies à vif et les chairs brûlées.
Pour chaque dossier, ce sont des heures de recoupement, de planques, de filatures pour aboutir enfin à des arrestations, parfois bien des années après ces crimes odieux. Avec un seul but : que la justice règne face à la barbarie et que l'humanité s'impose face à la terreur.
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