"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
En publiant La Sultane Blanche, Annie Goetzinger et Pierre Christin renouent avec leur mythique série de " portraits-souvenirs " consacrés à la peinture de caractères féminins.
On se souvient de La Demoiselle de la Légion d'Honneur, de La Diva et le Kriegsspiel, de La Voyageuse de Petite Ceinture, de Charlotte et Nancy. Autant d'héroïnes aux destinées fabuleuses ou pathétiques. Qu'est-ce qui, dans ce nouvel album, unit donc la destinée apparemment si dissemblable de Lady Sheringham, interviewée dans son manoir pour un article à sa gloire, à celle de la pauvre Emma Piggott, qui vient de mourir ignorée de tous dans sa rue de Whitechapel à Londres ? A l'une, la vie a tout donné, au fil de péripéties extrême-orientales hautes en couleur, sur ce qui restait de l'empire colonial anglais.
A l'autre, maîtresse d'école dans une institution religieuse, elle a presque tout refusé, dans la grisaille d'une existence immobile. Mais il y a cette petite annonce parue dans le TIMES de 1948 à laquelle, semble-t-il, l'une des deux femmes a répondu. Et l'autre pas.
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