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La splendeur des amberson

Couverture du livre « La splendeur des amberson » de Bouth Tarkington aux éditions Phebus
  • Date de parution :
  • Editeur : Phebus
  • EAN : 9782859407704
  • Série : (-)
  • Support : Papier
Résumé:

On voudrait faire relire Tarkington (1869-1946) comme on a fait relire récemment Ludwig Lewishon (Le Destin de Mr.
Crump) : l'un et l'autre dénonciateurs impitoyables de la bonne conscience américaine. Et rappeler que La Splendeur des Amberson (prix Pulitzer 1918), superbe évocation de... Voir plus

On voudrait faire relire Tarkington (1869-1946) comme on a fait relire récemment Ludwig Lewishon (Le Destin de Mr.
Crump) : l'un et l'autre dénonciateurs impitoyables de la bonne conscience américaine. Et rappeler que La Splendeur des Amberson (prix Pulitzer 1918), superbe évocation de l'arrogance - et de la fragilité - des puissants, avant d'être un grand film signé Orson Welles, fut d'abord un grand livre. Lequel n'a rien perdu, l'aimable " progrès " aidant, de sa flamboyante et sinistre actualité.

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Avis (1)

  • Les Amberson, c'est cette famille aisée du Middle West à la fin du XIXème siècle, qui a fait l'histoire de sa ville, donné son nom à une avenue, à un hôtel. C'est cette famille que tout le monde connaît, dont tout le monde scrute le moindre geste.

    Quand George Amberson, le dernier du nom,...
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    Les Amberson, c'est cette famille aisée du Middle West à la fin du XIXème siècle, qui a fait l'histoire de sa ville, donné son nom à une avenue, à un hôtel. C'est cette famille que tout le monde connaît, dont tout le monde scrute le moindre geste.

    Quand George Amberson, le dernier du nom, rencontre Lucy Morgan, les deux jeunes gens semblent faits l'un pour l'autre. Mais ce sera sans compter le poids du passé et le caractère difficile de George.

    Au début du roman, je n'étais pas vraiment emballée. Le style un peu vieillot m'a paru trop lourd, certaines expressions assez étranges (boire du lait au lieu de boire du petit lait par exemple) et j'ai eu du mal à accrocher au texte pendant les premiers chapitres.
    Mais ce fut une lecture toute en progression ; petit à petit, je me suis habituée au style, je me suis attachée à l'histoire.
    Et les cinquante dernières pages m'ont extrêmement plu !

    Ce roman a obtenu le Prix Pulitzer en 1919, Booth Tarkington est d'ailleurs l'un des rares auteurs à l'avoir obtenu plusieurs fois, à l'instar de Colson Whitehead ou William Faulkner. Son second roman primé est Alice Adams et bien entendu, sa lecture est prévue.

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