"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Au début du IVe siècle, l'empereur Constantin déplace en Orient la capitale de l'Empire, qui porte désormais son nom. Rome, centre de l'univers pendant 400 ans, entame une longue décadence que la présence du Siège pontifical est incapable d'enrayer. En 1417, à l'issue du Grand Schisme où Rome n'était même plus dans Rome, la ville en ruine compte vingt fois moins d'habitants qu'un millénaire auparavant. Or, deux siècles et demi plus tard, la cité naguère moribonde rayonne en Occident d'une splendeur incomparable et renoue avec sa première gloire. Ce qu'il a fallu d'énergie, de ténacité, de démesure parfois aux papes, de Nicolas V à Urbain VIII en passant par Jules II et Sixte Quint, pour opérer ce redressement, est aujourd'hui difficile à imaginer. A cette grandiose résurrection politique, intellectuelle, spirituelle et surtout artistique sont associés les noms de Bramante, Raphaël, Michel-Ange et Titien, mais aussi d'Ignace de Loyola, Filippo Neri, Charles Borromée et autres grands saints. La basilique Saint-Pierre incarne à tout jamais cette époque inégalée, où Rome est devenue la Ville éternelle.
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