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Premier volet d'une trilogie consacrée par l'auteur au « trop fameux motif », La Sainte-Victoire de trois quarts fait référence à la façon dont elle apparaît lorsqu'on la regarde suivant un autre axe que celui de la vision aixoise. au départ de ce livre, il y a une situation géographique et une hypothèse : que, depuis cézanne, la référence nous aveugle. « Depuis, on ne la voyait plus, ne pouvait plus la voir, telle qu'en elle-même ». D'où le déplacement, la volonté de faire le pas de côté nécessaire, de se déplacer ou de déplacer la vision (voire, de la bousculer), de glisser d'un point de vue à l'autre, pour la voir à nouveau, trouver la bonne distance « pour la désaffubler ». Dès lors, il s'agit de faire feu de toute sensation, de tout souvenir, de toute observation, pour explorer, dans l'espace physique et celui de la langue, notre relation sensorielle, « scripturale et script'orale », presque intime (à force, devenue intime), mais aussi intellectuelle et artistique, à cette montagne ; articulant, dans un texte polymorphe, empruntant parfois les accents et les excès d'une joyeuse démythification/démystification, une ode singulière au « motif souverain », qu'on aura pris soin, préalablement, d'étriller et de déminer. Les deuxième et troisième volets du triptyque sont Onze tableaux sauvés du zoo (St-Quentin-de-Caplong, Atelier de l'Agneau) et Le temps fait rage (Libourne, Le Bleu du ciel).
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