Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
Lorsqu'en 1948 paraît le premier grand recueil de Gonzalo Rojas, La Misère de l'homme, la critique chilienne et latino-américaine le reçoit et le reconnaît comme l'une des écritures poétiques majeures de l'époque. L'oeuvre va prendre peu à peu place aux côtés de celle de Vicente Huidobro et de Pablo Neruda, bien que l'esprit de cette oeuvre se rapporte davantage à celle du premier qu'à celle du second. Aujourd'hui, son auteur est reconnu unanimement comme le plus important poète de langue espagnole vivant. On peut s'étonner qu'elle n'ait pas été traduite plus tôt. Il y a un peu plus d'un an, Gonzalo Rojas recevait le Prix Cervantès, la plus haute distinction pour une oeuvre littéraire de langue espagnole. Misère de l'homme est ici proposée dans une traduction de Fabienne Bradu.
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Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
Chacune des deux demeures dont il sera question est représentée dans le sablier et le lecteur sait d'entrée de jeu qu'il faudra retourner le livre pour découvrir la vérité. Pour comprendre l'enquête menée en 1939, on a besoin de se référer aux indices présents dans la première histoire... un véritable puzzle, d'un incroyable tour de force
Sanche, chanteur du groupe Planète Bolingo, a pris la plume pour raconter son expérience en tant qu’humanitaire...
Des incontournables et des révélations viendront s'ajouter à cette liste au fil des semaines !