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Lorsqu'en 1948 paraît le premier grand recueil de Gonzalo Rojas, La Misère de l'homme, la critique chilienne et latino-américaine le reçoit et le reconnaît comme l'une des écritures poétiques majeures de l'époque. L'oeuvre va prendre peu à peu place aux côtés de celle de Vicente Huidobro et de Pablo Neruda, bien que l'esprit de cette oeuvre se rapporte davantage à celle du premier qu'à celle du second. Aujourd'hui, son auteur est reconnu unanimement comme le plus important poète de langue espagnole vivant. On peut s'étonner qu'elle n'ait pas été traduite plus tôt. Il y a un peu plus d'un an, Gonzalo Rojas recevait le Prix Cervantès, la plus haute distinction pour une oeuvre littéraire de langue espagnole. Misère de l'homme est ici proposée dans une traduction de Fabienne Bradu.
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