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Le Centennal commence...
Pour rompre la malédiction, l'un d'entre eux doit mourir.
Tous les cent ans, l'île maudite de Lightlark réapparaît pour accueillir le Centennal, une compétition meurtrière à laquelle les souverains des six royaumes voisins sont invités à participer. Invités, ou plutôt contraints, car c'est là leur seule et unique chance de briser la malédiction qui s'est abattue sur leurs peuples respectifs depuis près de cinq siècles, corrompant irrémédiablement leurs pouvoirs. Chacun des six adversaires a quelque chose à cacher - d'autant que pour dissiper le sortilège, tous le savent, l'un d'entre eux doit forcément mourir.
Isla Calys règne sur les Sauvages, un peuple de tentateurs condamnés à tuer celui ou celle dont ils tombent amoureux. Craints et méprisés, tous comptent sur leur souveraine pour mettre fin à leur calvaire en remportant le Centennal. Mais la jeune reine dissimule un terrible secret. Pour survivre, il va lui falloir tricher, tromper et trahir... y compris quand l'amour finit par entrer dans la danse.
Duplicité, mensonges, conspirations centenaires et coups de théâtre qui rebattent sans cesse les cartes de cette saga de dark fantasy...
Lightlark, phénomène mondial qui s'est hissé jusqu'au sommet de la liste de best-sellers du New York Times, est un incontournable pour les fans de Marie Lu, Marissa Meyer ou Leigh Bardugo.
J'ai beaucoup aimé le concept d'une compétition opposant six monarques sur une île qui n'apparait que tous les 100 ans. Pour gagner, il faut que l'un d'eux périsse, mais il entrainera tout son royaume dans sa chute. Evidemment, il y a des alliances, des complots, des retournements de situation que je n'ai pas du tout vu venir et rien que ça, ça fait du bien. Le rythme est assez chaotique, mais cela n'est pas incohérent avec cette course contre la mort.
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Maintenant, les choses qui fâchent. Si l'idée de départ est incroyable, la construction en elle-même laisse un peu à désirer. En 600 pages, il y avait largement assez de temps pour avoir plus de détails, plus d'informations sur les différents royaumes et également sur les souverains. Sur les 6, seulement 3 sont développés et reste tout de même assez clichés. On y retrouve la garce de service, le héros désabusé, le roi des ténèbres... oui, bon j'ai quand même craqué pour ce dernier, parce que toute mention d'un royaume de la nuit est ma faiblesse.
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