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La rage de courir : les tribulations d'un ultramarathonien suisse sur la TransEurope-FootRacé

Couverture du livre « La rage de courir : les tribulations d'un ultramarathonien suisse sur la TransEurope-FootRacé » de Christian Fatton aux éditions Jacques Flament
Résumé:

Pour tous ceux qui ont un jour décidé de chausser les baskets pour se mettre sérieusement à la course à pied, et qui savent donc ce qu'il en est de souffrir en avalant les kilomètres, le mot exploit prend tout son sens quand il s'agit d'évoquer la TransEurope-FootRace. Imaginez : il s'agissait,... Voir plus

Pour tous ceux qui ont un jour décidé de chausser les baskets pour se mettre sérieusement à la course à pied, et qui savent donc ce qu'il en est de souffrir en avalant les kilomètres, le mot exploit prend tout son sens quand il s'agit d'évoquer la TransEurope-FootRace. Imaginez : il s'agissait, pour l'édition 2012, de relier Skagen (Danemark), à Gibraltar (Espagne), à l'autre bout de l'Europe, soit une course de plus de 4000 km, avec une moyenne kilométrique de près de 65 km, sans un seul jour de repos. Il était donc sans conteste question de réaliser un exploit pour la cinquantaine de braves qui entamèrent l'aventure. Vingt-neuf d'entre eux seulement iront jusqu'au bout, et parmi eux, Christian Fatton, un Suisse du canton de Neuchâtel. Christian est un être atypique à la fois par son morphotype musculeux, peu courant chez les coureurs d'ultrafond, et par sa rage de courir et de réaliser les objectifs qu'il se fixe. Et Dieu sait, s'il lui en aura fallu de la rage pour aller au bout de ce défi, si l'on sait qu'il se présenta au départ dans des conditions loin d'être optimales, suite à une déchirure au mollet quelques mois avant l'épreuve. Ce livre est, pour sa partie essentielle, le journal de bord d'une course hors normes, avec ses moments de joie certes, mais aussi et surtout ses périodes de détresse, de doute et d'intense souffrance. Car il est dit, pour ces forçats de la route, que l'enfer du bitume est la clé qui ouvre la porte du paradis, son accès libérateur étant symbolisé par une ligne d'arrivée face à un célèbre rocher. Une aventure authentique, sans artifices, où il n'y avait rien à gagner, sinon la fierté d'avoir été finisher d'une course transcontinentale.

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