Onirique quand le rêve fait la part belle à la réalité et que les mots s'emmêlent se faisant multiples, hasardeux avant d'aller droit au but. L'enjeu de cette nouvelle reste en latence, et, jusqu'à la fin, s'égrènent les mots tel un chapelet fait de prières célestes ou l'ange à beau et bon dos. Elle Bory, pour une fois, plus qu'aspire, conspire. De sa plume émane une lie blanchâtre confondue et confondante aux prémices d'un monde qu'elle souhaiterait sans fard. À lire et à relire entres deux vols sans allers et retours.
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